LA MOTRICITÉ
Dans ce cas de figure, soit des conditions particulièrement grasses, il faut chercher le maximum d’adhérence, donc les zones où la roue arrière va mordre, d’où l’importance du regard loin. C’est aussi sur ces portions que peut se gérer le coup de gaz. Il ne faut pas négliger l’appui sur les repose-pieds, avoir en tête de forcément soulager l’avant mais aussi de charger l’arrière qui permet d’apporter l’élan suffisant. QUELQUES
CONSEILS
Au même titre que pour repérer les secteurs intéressants pour la motricité, il est indispensable de lever le nez pour choisir la meilleure trajectoire. Un caillou qui vous déséquilibre dans la prise d’élan et le refus d’obstacle vous pend au nez. Un trou, une arête mal placée sur le haut de marche… Là, ça peut même devenir chaud/bouillant !
Sur un rocher bien humide et moussu comme cela semble être le cas ici, évitez d’attaquer l’obstacle de biais, ça glisse et la moto inclinée peut vite se dérober.
Une chute sur le passage d’une marche est vite arrivée et dans la mesure du possible, un petit temps d’arrêt en guise de reconnaissance ne fait pas de mal.
La position assise est strictement interdite, les jambes encaissent l’impact sur le rocher et en se détendant elles aident à créer l’impulsion pour se hisser au sommet.