Notes
(1) L’auteur remercie Kjølv Egeland, Hebatalla Taha et Clément Therme pour leur contribution constante à sa réflexion.
(2) La première étude a été rendue possible par le soutien de l’agence nationale de la recherche au projet VULPAN, la seconde par L’ERC NUCLEAR.
(3) Mara Drogan « The Nuclear Imperative: Atoms for Peace and the Development of U.S. Policy on Exporting Nuclear Power, 1953-1955 », in Diplomatic History, vol. 40, no 5, novembre 2016, p. 948-974.
(4) Akbar Etemad, « La question du nucléaire iranien : les défis et les tensions », in Géostratégiques, mai 2009. (5) Michele Gaietta, The Trajectory of Iran’s Nuclear Program, Palgrave Macmillan, 2015.
(6) David E. Sanger et William J. Broad, « Erdogan’s Ambitions Go Beyond Syria. He Says He Wants Nuclear Weapons », in The New York Times, 20 octobre 2019.
(7) Benoît Pelopidas, « Les émergents et la prolifération nucléaire : Une illustration des biais téléologiques en relations internationales et de leurs effets », in Critique internationale, no 56, août-septembre 2012, p. 57-74.
(8) Georges Le Guelte, Terrorisme nucléaire : Risque majeur, fantasme ou épouvantail ?, IRIS/PUF, 2003. L’auteur identifie trois types d’agression : la chute
d’un avion sur une installation nucléaire, la fabrication d’une « bombe sale », l’explosion d’une arme nucléaire. Si les deux premières ne sont pas anodines, la troisième est une opération quasi impossible pour un groupe terroriste.
(9) John Mueller, Atomic Obsession: Nuclear Alarmism From Hiroshima to Al-qaeda, Oxford University Press, 2012.
(10) Benoît Pelopidas, « French nuclear idiosyncrasy: how it affects French nuclear policies towards the United Arab Emirates and Iran », in Cambridge Review of International Affairs, vol. 25, no 1, 2012, p. 143-169.