NOTES
(1) Thierry Boissière et Annie Tohmé Tabet, « Une économie de la survie au plus près de la guerre. Stratégies quotidiennes des réfugiés syriens à Nabaa », in Critique Internationale no 80, 2018/3, p. 89-109 ; Thierry Boissière, « Le ventre de Beyrouth. Du hub marchand à l’espace ressource, ethnographie du Marché de gros de fruits et légumes à Sabra », in Ethnologie française no 179, 2021.
(2) Élisabeth Longuenesse, « Travailleurs étrangers, réfugiés syriens et marché du travail », in Confluences Méditerranée no 92, hiver 2014-2015, p. 33-47.
(3) En raison du prix du visa, beaucoup de réfugiés renoncent, une fois installés au Liban, à le renouveler, ce qui accroît leur précarité et leur vulnérabilité.
(4) Le Liban, non signataire de la convention de Genève de 1951 sur le statut des réfugiés, n’a pas mis en place de cadre juridique garantissant les droits des réfugiés et demandeurs d’asile, et refuse la création de camps officiels.
(5) Un-habitat, Nabaa. Neighbourhood, Profile & Strategy, mars 2017.
(6) Assaf Dahdah, « Négocier sa place chez l’autre. Les migrants dans les espaces palestiniens à Beyrouth », in Revue européenne des migrations internationales, vol. 30, no 2, 2014, p. 25-47 ; Assaf Dahdah, « Beyrouth mosaïque : les migrations comme prisme d’analyse de la capitale libanaise », in Moyen-orient no 42, avril-juin 2019, p. 86-91
(7) Hala C. Abou Zaki, « Les réfugiés de Syrie dans le camp de Chatila : conflits de légitimité et solidarités entre “nouveaux” et “anciens” réfugiés », in Confluences méditerranée no 92, hiver 2014-2015, p. 49-59.