INTERFACE : AU PLUS SIMPLE
L’écran est consultable dans les deux positions, portrait ou paysage, avec un thème clair, assorti à celui de la cartographie. Le tiroir en bas de l’écran regroupe les fonctions de navigation les plus courantes (trace, routage, waypoint...). Le bandeau en haut contient le menu général, la vitesse, le cap et un bouton de recherche (coordonnées géographiques uniquement). En mouvement, le bateau est figuré par un triangle bleu mobile et un vecteur d’orientation, le bandeau affichant la durée et la distance parcourue. L’icône Calques, en haut à droite, permet d’afficher les lignes de sonde à haute densité et d’accéder aux cibles AIS par internet et aux guides d’aide (partiellement traduits). L’ensemble reste simple mais il faudra un peu d’habitude pour jongler entre ces différents emplacements, d’une logique parfois obscure.
L’enregistrement de la trace en rouge reste simple, mais un peu aléatoire en raison de nombreux bugs d’affichage et d’enregistrement. Une fois qu’elles sont sauvegardées, on peut consulter ses statistiques sous forme graphique et numérique, distance parcourue, vitesse moyenne et maxi, heures de départ et d’arrivée.
La création de route est simple et rapide avec un appui pour poser un point, un autre pour le modifier, le déplacer ou l’effacer, mais rien n’est prévu pour entrer des coordonnées géographiques précises ou nommer les points.
L’outil de mesure de distance est simple et pratique, en offrant la possibilité rare de créer des points séquentiels pour étudier une route par exemple. Bien vu. Ce qui l’est moins, c’est l’absence de toute mesure de relèvement…
Le téléchargement des cartes, lisibles hors connexion, se fait dans l’application, la zone de couverture de chaque folio apparaissant en bleu.