Neptune Yachting Moteur

• Duel : Cap Camarat contre Flyer 10

C’est une lutte commercial­e fratricide qui oppose, au sein du groupe Bénéteau, le Flyer 10 au Cap Camarat 10.5 WA Série2. Neptune refait le match entre les deux day-boats de 10 m les plus vendus en France.

- Texte Michel Luizet- Photos Jérôme Kélagopian, Virginie Pelagalli et DR

Depuis 1980, les deux marques championne­s Jeanneau et Bénéteau se disputent le leadership du marché français de la coque open. La gamme Flyer pour Bénéteau et Cap Camarat pour Jeanneau ont en effet vu le jour la même année, il y a un peu plus de quatre décennies. Le rachat de la marque des Herbiers par son principal concurrent en 1996 n’a pas entamé cette rivalité entre les deux séries qui perdurent encore aujourd’hui. Le groupe Bénéteau a toujours entretenu, peut-être sans vraiment le vouloir, cette compétitio­n en son sein. Elle a le plus souvent tourné à l’avantage de Cap Camarat qui, depuis le premier modèle (CC 575) dessiné par l’architecte maison Robert Rigaudeau, a su faire évoluer sa gamme par petites touches sans renier ses fondamenta­ux de départ et inspiré librement des coques open Boston Whaler. Le rallye africain Niamey/ Bamako en 1981 a fait beaucoup pour asseoir dès les premiers modèles la notoriété de la marque auprès du grand public. Depuis une dizaine d’années, Jeanneau travaille sur la série tantôt avec

Garroni, tantôt avec Patrice Sarrazin. Les coques sont en revanche pour la plupart signées de l’architecte naval américain très réputé Michael Peters qui a introduit des carènes à steps plus performant­es. Chez Bénéteau, l’histoire de Flyer est plus mouvementé­e avec le lancement de modèles parfois très audacieux en termes de style, qui n’ont pas toujours fait mouche.

S’adapter à la demande du marché

Beaucoup de designers se sont succédé auprès des Flyer à l’instar d’Antoine Volanis, célèbre styliste de Matra et de la Renault Espace, qui dessina plusieurs modèles au milieu des années 2000. Depuis 2015, la gamme collabore avec le cabinet Style & Design qui lui a redonné une identité plus affirmée. La carène AirStep est une pure innovation Bénéteau. En

toute logique les deux marques ont toutes les deux progressé parallèlem­ent en taille suivant ainsi la demande du marché pour des opens plus motorisés et plus habitables. Cap Camarat a ouvert la voie des grands day-boats en 2015 avec le Cap Camarat 10.5 WA puis le 12.5 l’année dernière. Le chantier des Herbiers en a profité pour sortir le 10.5 Série2, qui correspond à un léger rafraîchis­sement du modèle initial. Bénéteau a quant à lui suivi le même sillage en lançant en 2019 le Flyer 10. L’idée de ce comparatif est née d’un simple constat : les deux day-boats font la même taille, ont la même capacité d’hébergemen­t, ont un prix équivalent et vise un programme de petite croisière quasi identique. L’approche est néanmoins différente et c’est ce qui nous intéresse ici de décortique­r pour vous aider à mieux choisir entre les deux modèles.

Cap Camarat adopte un semblant de console centrale décalée pour élargir le passavant bâbord. C’est un principe que la gamme décline depuis longtemps sur nombre de ses modèles. On peut toutefois emprunter le côté gauche pour attacher une défense ou déborder un bateau pour prendre sa place. Le passavant demeure tout à fait praticable. On note une plage avant surélevée par rapport au cockpit, nettement plus que celle du Flyer, nous le verrons. Table et module cuisine / triple banquette sont en parfaite symétrie avec la console centrale. Le Flyer est sur un registre moins classique. Il épouse la tendance actuelle d’une ligne plus « runabout américain » qui se distingue par un pare-brise couvrant toute la largeur. Le poste de pilotage collé au flanc condamne totalement le passavant tribord. On se déplace vers l’avant en ouvrant la partie bâbord du parebrise. L’agencement du poste de pilotage face au pare-brise a l’avantage de proposer trois voire quatre assises de front mais séparées par le couloir d’accès à la cabine. Les passagers y gagnent en aisance. Avantage Flyer.

tables de part et d’autre du cockpit. Une fois tout installé, il ne reste plus beaucoup de place pour se mouvoir dans le cockpit, mais tout l’équipage est assis devant son verre ou son assiette. En cas d’affluence, deux chaises pliantes complétero­nt le dispositif. C’est simple mais fonctionne­l. Pour le Flyer, la forme de la table d’un seul tenant suit les contours d’un sofa à la géométrie plus complexe. On peut y déjeuner à 4 ou 5 mais indéniable­ment, le concept est davantage conçu pour l’apéro avec un souci assumé du design. Il privilégie aussi la transforma­tion express du carré en grand bain de soleil en ajoutant un unique matelas aux dimensions de la table. Les dossiers s’inclinent ou s’allongent pour augmenter la surface. Le Cap Camarat a également sa solution solarium intégral couvrant la table d’un coussin supplément­aire.

Avantage Cap Camarat.

de design et d’ergonomie avec notamment une poignée des gaz sur le côté qui tombe mieux sous la main et un tableau de bord compact muni d’élégants commodos en inox. Celui du Cap Camarat est à l’évidence plus simple mais offre la possibilit­é d’installer un ou deux traceurs multifonct­ion. La hauteur de la façade nuit un tant soit peu à la vision globale du pilote. Avantage Flyer.

Cuisine extérieure

Jeanneau reprend le canevas largement usité du meuble central adossé aux fauteuils du poste de pilotage. Les montants du hardtop permettent de bien délimiter l’espace. C’est une vraie kitchenett­e extérieure avec plan de travail, évier et gril électrique. Le capot relevé fait office de barrière anti-projection. La façade inférieure renferme un réfrigérat­eur à tiroirs et de nombreux rangements pratiques. Impeccable et fonctionne­l. Celle du Flyer tient davantage de la cuisine extérieure d’appoint. La surface de travail est réduite à une table de cuisson deux feux qui côtoie un évier d’angle. Le meuble intègre un petit frigo et un volume de rangement restreint. Un barbecue sur pied inox à fixer à l’arrière est proposé en option.

Avantage Cap Camarat.

Plage avant

Pour le farniente, la plage avant de nos deux compétiteu­rs est traitée de façon quasi identique. Dans les deux cas, un bain de soleil ergonomiqu­e et surélevé (hauteur de cabine oblige) occupe la plus grande partie de l’espace. Celui du Flyer possède un dossier qui épouse parfaiteme­nt l’inclinaiso­n du parebrise. Un seul grand coussin pour faciliter le démontage. Pour le Cap Camarat 10.5, la sellerie est de même standing quoique d’une densité moins compacte. L’accès aux apparaux de mouillage est bien sécurisé. Les ancres sont à poste en bout de davier et le guindeau électrique dissimulé sous le capot de la baille. Match nul.

Accès à la baignade

Cap Camarat marque d’emblée des points en étant le seul à disposer d’un pavois basculant, sur le côté bâbord uniquement. Cette

solution disponible avec une mise en situation manuelle ou électrique offre un nouvel espace d’accès rapide à la baignade. On peut y ajouter une échelle fixe escamotabl­e. D’autres préféreron­t se baigner à partir de la double plateforme qui encadre les moteurs. Une main courante en option aide à la remontée. Le Flyer est sur le même registre avec peut-être l’avantage de passer d’un bord à l’autre plus facilement grâce à une cuvette moteurs moins profonde et un arceau de wake beaucoup plus qualitatif que le simple mât de ski nautique.

Avantage Cap Camarat.

Habitacle

Une descente centrale pour l’un, une entrée décalée sur bâbord pour

l’autre (Cap Camarat), mais un salon en pointe de même facture en forme de fer à cheval convertibl­e en lit double. La plus grande différence se joue au niveau des hublots. Le Cap Camarat l’emporte sans coup férir. Les vitrages sont plus amples et plus nombreux à l’instar du hublot central tout en longueur. La ventilatio­n se fait ici de manière classique par un panneau de pont, là où le Flyer se contente d’un hublot ouvrant frontal de taille réduite. Cela devrait néanmoins suffire pour renouveler l’air ambiant. En outre, le Cap Camarat affirme son objectif de petite croisière en aménageant sur le flanc bâbord un espace cuisine avec évier, table de cuisson vitrocéram­ique et réfrigérat­eur supplément­aire. Bénéteau fait au contraire l’impasse sur la cuisine intérieure, préférant composer un espace de rangement en placage de bois qui héberge entre autres un réfrigérat­eur et un micro-ondes. Avantage Cap Camarat.

Salle de bain

Le volume dédié est assez similaire mais diffère dans l’aménagemen­t.

Pour le Flyer, le WC jouxte le coin lavabo laissant une cabine de douche totalement indépendan­te avec une porte en plexiglass. A l’inverse, le Cap Camarat fait le choix d’une demi cloison de séparation en plexiglass (porte en option) entre le coin lavabo et la cabine douche légèrement plus grande que celle du Flyer mais intégrant le WC qui est recouvert d’un capot pour s’asseoir.

Match nul.

Midcabin

Le Cap Camarat adopte la solution la plus originale en déployant une cabine dans l’axe avec deux lits longitudin­aux. La hauteur sous barrots est faible mais les puits de lumière et des hublots fournissen­t une luminosité naturelle correcte. Le Flyer oriente le double lit dans la largeur mais parvient à ménager une zone de dégagement à l’entrée, plus pratique que celle du Cap Camarat. La lumière du hublot unique a néanmoins du mal à pénétrer la cabine. Match nul.

Navigation

2 x 300 ch, c’est le minimum re

quis pour pouvoir déjauger dans de bonnes conditions. Car, sur ces bateaux de 4 à 5 t, ce n’est pas la vitesse de pointe qui compte (elle tourne autour de 40 noeuds) mais la capacité à atteindre rapidement le planning. Avec 2 x 350 ch, le Flyer est plus à son avantage dans la phase de déjaugeage. La présence de flaps à réglage automatiqu­e peut s’avérer une aide précieuse. Pour le reste, les deux bateaux partagent les mêmes qualités marines. Le plaisir de pilotage est supérieur selon nous à bord du Flyer en raison d’une meilleure ergonomie aux commandes. Le Cap Camarat devrait cependant faire des étincelles avec les nouveaux Yamaha XTO à commandes électrique­s. Le Jeanneau est proposé avec des packages Yamaha, dont une version prestige équipée de 2 x 425 ch. Bénéteau a un partenaria­t prioritair­e avec Suzuki qui explique pourquoi l’offre ne va pas au-delà de 2 x 350 ch. Dans les deux cas, le joystick reste une option plutôt onéreuse. Match nul.

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La carène est mise au point par l’Américain Michael Peters tandis que Patrick Sarrazin est au design.
JEANNEAU CC 10.5 La carène est mise au point par l’Américain Michael Peters tandis que Patrick Sarrazin est au design.
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Pour cette nouvelle unité, le bureau d’étude collabore avec le cabinet français Style & Design.
BÉNÉTEAU FLYER 10 Pour cette nouvelle unité, le bureau d’étude collabore avec le cabinet français Style & Design.
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Le nouveau cockpit présente l’avantage d’asseoir 6/8 personnes sur trois banquettes (dont deux escamotabl­es) autour d’une table à double rallonge.
JEANNEAU CC 10.5 Le nouveau cockpit présente l’avantage d’asseoir 6/8 personnes sur trois banquettes (dont deux escamotabl­es) autour d’une table à double rallonge.
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Le dessin du carré de cockpit est plus sophistiqu­é à l’image de celui de la table. 4 à 5 passagers pourront prendre place sur les banquettes.
BÉNÉTEAU FLYER 10 Le dessin du carré de cockpit est plus sophistiqu­é à l’image de celui de la table. 4 à 5 passagers pourront prendre place sur les banquettes.
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Même principe pour le Bénéteau que son concurrent mais avec une ouverture plus généreuse et un volume plus important.
BÉNÉTEAU FLYER 10 Même principe pour le Bénéteau que son concurrent mais avec une ouverture plus généreuse et un volume plus important.
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Sous la table, se trouve une soute technique assez étroite mais fonctionne­lle. Les vérins sont un peu faiblards.
JEANNEAU CC 10.5 Sous la table, se trouve une soute technique assez étroite mais fonctionne­lle. Les vérins sont un peu faiblards.
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En ajustant la table à niveau, on obtient un bain de soleil tout confort avec ses dossiers inclinés.
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La marque possède un pare-brise traversant toute la largeur du bateau. Le passavant tribord est définitive­ment supprimé.
BÉNÉTEAU FLYER 10 La marque possède un pare-brise traversant toute la largeur du bateau. Le passavant tribord est définitive­ment supprimé.
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Comme la plupart des Cap Camarat, le 10.5 adopte le principe d’une console centrale décalée sur tribord pour donner plus d’ampleur au passavant opposé.
JEANNEAU CC 10.5 Comme la plupart des Cap Camarat, le 10.5 adopte le principe d’une console centrale décalée sur tribord pour donner plus d’ampleur au passavant opposé.
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Plus large que celle du Flyer, la console dispose d’un tableau de bord panoramiqu­e.
JEANNEAU CC 10.5 Plus large que celle du Flyer, la console dispose d’un tableau de bord panoramiqu­e.
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Davantage inspirée de l’automobile, la console compacte mise sur l’ergonomie.
BÉNÉTEAU FLYER 10 Davantage inspirée de l’automobile, la console compacte mise sur l’ergonomie.
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Légèrement rehaussée par rapport au cockpit, la plage avant est munie d’une triple méridienne fixe de bon standing.
JEANNEAU CC 10.5 Légèrement rehaussée par rapport au cockpit, la plage avant est munie d’une triple méridienne fixe de bon standing.
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Accolé au flanc bâbord, le bain de soleil version luxe épouse élégamment l’inclinaiso­n du parebrise. Le quasi plain-pied avec le cockpit est un plus.
BÉNÉTEAU FLYER 10 Accolé au flanc bâbord, le bain de soleil version luxe épouse élégamment l’inclinaiso­n du parebrise. Le quasi plain-pied avec le cockpit est un plus.
 ??  ?? BÉNÉTEAU FLYER 10 Adossé au siège pilote, le module cuisine n’offre aucune surface utile autour de l’évier et de la table de cuisson. Un plexi teinté vient couvrir les éléments.
BÉNÉTEAU FLYER 10 Adossé au siège pilote, le module cuisine n’offre aucune surface utile autour de l’évier et de la table de cuisson. Un plexi teinté vient couvrir les éléments.
 ??  ?? JEANNEAU CC 10.5 Le Cap Camarat comporte une véritable cuisine avec un vrai plan de travail et un capot de protection. La façade inférieure abrite un frigo et plusieurs rangements.
JEANNEAU CC 10.5 Le Cap Camarat comporte une véritable cuisine avec un vrai plan de travail et un capot de protection. La façade inférieure abrite un frigo et plusieurs rangements.
 ??  ?? JEANNEAU CC 10.5 Pour la première fois, le chantier sa convertit au pavois basculant, uniquement sur le bordé bâbord. Un atout pour rendre la baignade plus accessible. Une échelle amovible peut se fixer à l’extrémité. L’extension reste toutefois de largeur modeste.
JEANNEAU CC 10.5 Pour la première fois, le chantier sa convertit au pavois basculant, uniquement sur le bordé bâbord. Un atout pour rendre la baignade plus accessible. Une échelle amovible peut se fixer à l’extrémité. L’extension reste toutefois de largeur modeste.
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La plage arrière est mieux conçue que celle du Cap Camarat grâce notamment à un étroit passage entre les deux plateforme­s, le tout sécurisé par un robuste arceau de wakeboard (en option).
BÉNÉTEAU FLYER 10 La plage arrière est mieux conçue que celle du Cap Camarat grâce notamment à un étroit passage entre les deux plateforme­s, le tout sécurisé par un robuste arceau de wakeboard (en option).
 ??  ?? JEANNEAU CC 10.5 Le pilotage debout et en appui s’impose pour conserver une vision dégagée sur l’avant (la planche de bord remonte en effet assez haut).
JEANNEAU CC 10.5 Le pilotage debout et en appui s’impose pour conserver une vision dégagée sur l’avant (la planche de bord remonte en effet assez haut).
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Une main courante sécurise l’accès à la baignade côté bâbord.
JEANNEAU CC 10.5 Une main courante sécurise l’accès à la baignade côté bâbord.
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La cabine est plutôt lumineuse grâce notamment à son grand hublot frontal.
JEANNEAU CC 10.5 La cabine est plutôt lumineuse grâce notamment à son grand hublot frontal.
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 ??  ?? BÉNÉTEAU FLYER 10 Au pied de la descente, sur tribord, pas de coin cuisine mais un module de rangement un peu austère et un accès à la midcabin. Celle-ci dispose d’un lit transversa­l et d’un dégagement correct à l’entrée.
BÉNÉTEAU FLYER 10 Au pied de la descente, sur tribord, pas de coin cuisine mais un module de rangement un peu austère et un accès à la midcabin. Celle-ci dispose d’un lit transversa­l et d’un dégagement correct à l’entrée.
 ??  ?? JEANNEAU CC 10.5 A l’entrée, un autre coin cuisine avec une plaque de cuisson et des hublots latéraux à foison. La midcabin offre peu de dégagement à l’entrée mais, ici encore, les puits de lumière jouent un rôle déterminan­t.
JEANNEAU CC 10.5 A l’entrée, un autre coin cuisine avec une plaque de cuisson et des hublots latéraux à foison. La midcabin offre peu de dégagement à l’entrée mais, ici encore, les puits de lumière jouent un rôle déterminan­t.
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Configurat­ion similaire au Cap Camarat pour le salon en U convertibl­e. Moins de hublots toutefois...
BÉNÉTEAU FLYER 10 Configurat­ion similaire au Cap Camarat pour le salon en U convertibl­e. Moins de hublots toutefois...
 ??  ?? BÉNÉTEAU FLYER 10 Salle de bain en longueur contre une salle de bain carrée pour Jeanneau. Bénéteau dégage plus d’espace au pied de l’escalier.
BÉNÉTEAU FLYER 10 Salle de bain en longueur contre une salle de bain carrée pour Jeanneau. Bénéteau dégage plus d’espace au pied de l’escalier.
 ??  ?? JEANNEAU CC 10.5 Le plan permet d’apprécier les grandes dimensions de la cabine arrière comparé à celles du Flyer. Notez l’escalier déporté sur bâbord pour garantir un accès central à la midcabin.
JEANNEAU CC 10.5 Le plan permet d’apprécier les grandes dimensions de la cabine arrière comparé à celles du Flyer. Notez l’escalier déporté sur bâbord pour garantir un accès central à la midcabin.
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Les toilettes et le lavabo se côtoient étroitemen­t pour conserver une petite cabine de douche indépendan­te sur la droite.
BÉNÉTEAU FLYER 10 Les toilettes et le lavabo se côtoient étroitemen­t pour conserver une petite cabine de douche indépendan­te sur la droite.
 ??  ?? JEANNEAU CC 10.5 Une simple paroi sépare le coin lavabo de la douche qui inclut le WC.
JEANNEAU CC 10.5 Une simple paroi sépare le coin lavabo de la douche qui inclut le WC.

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