La mélodie du silence, ce samedi à Nice
Unanimement salué par la critique pour sa virtuosité et sa grâce, son huitième et dernier album est bien plus qu’un hommage. Avishai Cohen a composé Into the silence au lendemain de la mort de son père. « Ce disque, c’est un peu pour lui, grâce à lui, à cause de lui », résume-t-il simplement, même si au départ, rien n’a été prémédité. « Je prends la musique comme elle vient, comme elle se présente à moi », précise-t-il lorsqu’on lui demande où il puise son inspiration. Pour cette nouvelle tournée, dont la prochaine étape est prévue ce samedi au théâtre de Verdure de Nice, Avishai Cohen s’est une fois de plus bien entouré : Bill McHenry au saxophone,Yonathan Avishai au piano, Barak Mori à la contrebasse et Nasheet Waits à la batterie. « Comme d’habitude, glisse-t-il, on improvisera un peu. On ne joue jamais la même musique tous les soirs ». Tout dépendra donc du feeling. « Peu importe que l’on joue dans un petit club ou dans un énorme festival, explique-t-il. Tout dépend surtout du public que l’on a en face, de la dynamique, de l’environnement et de l’émotion. » Donald Trump ou Donald Duck? Donald Duck. Sans aucune hésitation.
Les Blues Brothers ou les « Cohen Brothers » ? « Cohen Brothers ». Pas pour le nom bien sûr, et pas non plus parce que je suis leur frère (rires !) Plutôt pour leurs films en fait : Fargo, The Big Lebowski…
New York ou Tel-Aviv ? Je dirais Tel-Aviv. C’est là-bas que je vis en ce moment, même si je fais souvent des allers-retours à New York, où je vis aussi une bonne partie de l’année.
Ibrahim Maalouf ou Miles Davis? C’est pas très juste pour Ibrahim d’avoir à répondre à cette question…
Whisky, rhum ou rosé ? Whisky.