Nice-Matin (Cannes)

Remercieme­nts

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7 juin – 11 juillet. Ça en fait du temps sur les routes pour suivre un tournoi de football. Mais je n’étais jamais seul. Enfin, pas vraiment. Sans eux, rien n’aurait été possible :

✓ À Oriane, ma femme que j’aime, qui a supporté mon absence pendant de longues semaines et qui en a profité pour dormir en croix dans le lit. ✓ A Gabriel, ma copie conforme, qui a fait ses premiers pas lors de l’ouverture de l’Euro et qui est une formidable raison de vivre. ✓ A Pounou, mon père, pour son amour et le frigo rempli de Mozzarella. ✓ AVincent,moncompagn­ondevoyage­quim’ainitiéaux­bonnes tables, au vin, à l’eau gazeuse, aux pansements, au créneau en doublette. Ce fut un réel plaisir, mon ami. ✓ A mes deux chats, qui ont veillé sur femme et enfant. ✓ A mes beaux-parents, pour la nouvelle salle de bain. ✓ Au journal, qui nous a laissés dans la nature pour cette dinguerie low-cost. ✓ A Denis, pour sa voiture immatricul­ée « 13 », aux quelques prunes et pour sa confiance. ✓ A Philippe, pour sa folie et la liberté qu’il nous donne. ✓ A Romain, Toine, Fab, Will, Chris, Croux, Gil, le sosie de Gil et Tchoa pour leur soutien, leur relecture, les photos sur le fil, les vidéos d’ivresse, les conneries, l’amitié. ✓ ANath,pourl’intendance­dignedel’organisati­onduTourde­France. ✓ A Régis dit Gandalf, Mika le Prez, Francky Balotelli et La Pèche pour leur suivi 2.0. ✓ A l’UEFA, pour les accréditat­ions et la chatte au tirage. ✓ A l’équipe de France, pour ce voyage un peu fou, long, dur, bandant et cruel sur la fin. ✓ A Eder, buteur de la finale à la 109e, qui a foutu en l’air tous nos papiers. ✓ A ce boulot, usant, fatiguant, passionnan­t, enivrant. ✓ A ma mère qui aurait été si fière de moi et qui a suivi tout ça du haut de la plus belle des tribunes de France. Là-haut.

MATHIEU

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