Avec l’innovation comme passeport de poids
Le programme « Sophia » – offrant de nouvelles possibilités de logement, d’accueil ou encore d’enseignement supérieur – et la prochaine mise en circulation du bustram assurent un axe commun aux différents acteurs du territoire. Un chemin balisé par l’attractivité et la reconnaissance de la technopole.
Capitaux étrangers
Au total, les entreprises à capitaux étrangers représentent % des emplois de Sophia Antipolis. Soit () entreprises pour vingt-quatre pays. Le plus important de tous ? L’Espagne, bien évidemment, Amadeus oblige. Juste derrière, les États-Unis, le Luxembourg, l’Allemagne et le Danemark occupent le quintet de premier choix au sein de la technopole.
Sciences et techniques
Pas de surprise, le secteur des Tic (Technologies de l’information et de la communication) domine les activités sur le territoire avec établissements et emplois. Pour autant, la santé n’est pas en reste avec établissements et emplois. Celui de l’enseignement et de la recherche, quant à lui, est incarné par établissements et emplois. Du côté de la terre et de l’énergie, établissements génèrent emplois. Quatre domaines « coeur de cible » représentant , milliards d’euros de CA en .
Complémentarité
À côté des domaines de prédilection de la technopole, les services aux entreprises qualifiés de « complémentaires » matérialisent % des emplois pour % du nombre d’établissements. 1.Dont77d’origineextra-européenne(8 %desemplois) et 111 d’origine européenne (18 % des emplois).