La phrase Programme Eysseric : quel bijou !
En pourcentage, la possession du Gym à la e minute de jeu. Elle est tombée à % à la fin du match.
“Quant
aux abrutis des tribunes, il faut savoir que c’est parfois difficile de faire des changements quand on a - jeunes de ans sur le banc et qu’on ne veut pas les mettre dans la pagaille. Certains oublient qu’on n’avait que deux milieux ce soir, s’il y en a un qui se blesse, c’est moi qui rentre sur le terrain. Alors les tarés, des fois, il faut qu’ils se la ferment.”
Lucien Favre, au micro de Canal + ✓ Journée (vendredi avril à h) Lille - Nice ✓ Journée (samedi avril à h) Nice - Nancy ✓ Journée (week-end du avril) Toulouse - Nice ✓ Journée (week-end du avril) Nice - Paris SG ✓ Journée (week-end du mai) Marseille - Nice ✓ Journée (samedi mai à h) Nice - Angers ✓ Journée (samedi mai à h) Lyon - Nice CARDINALE : décisif, comme sur cette superbe horizontale devant Vada, seul dans les six mètres (35’). Chanceux aussi sur ce raté incroyable de Kamano après une sortie ratée (56’).
SOUQUET : volontaire et percutant offensivement, il joue parfaitement le coup en obtenant le penalty de l’égalisation sur un duel avec Toulalan. Le capitaine bordelais n’en est toujours pas revenu. Il laisse certes quelques espaces dans son dos, mais ça fait partie de son jeu.
DANTE : le Brésilien est un peu moins souverain depuis quelques matchs. Cela s’est encore vérifié hier à l’image de ce ballon perdu sur l’ouverture du score de Laborde. Toujours très précieux néanmoins dans les relances et le placement.
LE MARCHAND : il n’est pas auteur d’un si mauvais match dans l’ensemble. Mais ses deux grosses erreurs techniques dans la surface ont failli coûter très cher. Pas exempt de tout reproche non plus sur le but de Laborde. Ça fait beaucoup...
DALBERT : une prestation sans relief. Peu en vue en attaque, il n’a pas non plus toujours été impérial défensivement malgré une grosse débauche d’énergie. KOZIELLO : il avait joué seulement 5 petites minutes sur les 5 précédentes journées de L1. Mais il a été dans le ton d’entrée. Il a multiplié les kilomètres, joué juste et ratissé un nombre incalculable de ballons. Il a prouvé à son entraîneur qu’il pouvait lui faire confiance. SERI : sa justesse technique et sa propension à se projeter vers l’avant ont fluidifié le jeu de son équipe. Indispensable.
RICARDO : on le préfère dix fois en latéral qu’à ce poste de milieu offensif côté droit où, souvent dos au but, il n’exprime pas assez ses qualités de vitesse et de percussion. Il manque aussi le but du break (67’).
BELHANDA : on l’a connu plus incisif, décisif. Positionné en meneur de jeu, dans un rôle qu’il affectionne, le Marocain n’a que trop peu fait parler sa qualité technique pour trouver les décalages. Dans une mauvaise passe... Remplacé par Le Bihan (78’), qui a bien conservé la balle en fin de match.
EYSSERIC : le talent à l’état pur a parlé. Quel enroulé du droit des 20 mètres ! Un but génial qui donne la victoire aux Aiglons et récompense une prestation aboutie du milieu niçois. Il prend une autre dimension depuis son retour de blessure fin janvier. Remplacé par Sarr (89’).
BALOTELLI : un but (sur penalty), une passe décisive pour Eysseric, une frappe de titan qui a failli casser le poignet de Carrasso…. Ajoutez à cela un investissement rarement vu cette saison dans les appels de balle et le replacement (surtout avant la pause) et ça vous donne un Super Mario ! Comme on aimerait le voir à chaque sortie.