L’association Coeur de Gazelles sur France 5 Tous en scène sauf un
Le Magazine de la santé , sur France 5, suit une caravane médicale dans le désert marocain. Jusqu’à vendredi, à 13 h 40, « Le Magazine de la santé » feuilletonne un reportage émouvant intitulé Coeur de Gazelles. À raison de sept minutes par épisode quotidien, on suit une caravane médicale dans le désert marocain. « Coeur de Gazelles est l’association caritative du rallye des Gazelles. On se sert de l’infrastructure du rallye pour, parallèlement à lui, mener des actions médicales au plus près des populations, explique Marina Vrillacq, présidente de l’association. Cette année, nous avons pu réaliser 8 000 consultations médicales sur différentes spécialités : médecine générale, optique, gynécologique, dentaire, ophtalmologique, pédiatrique… » Cette immersion nous rapproche du quotidien des cinquante bénévoles, dont trente-cinq médecins, qui agissent en toute humilité. « En mettant en lumière nos bénévoles, ce formidable reportage fait du bien. Il permet de rendre compte de ce que nous faisons, concrètement, sur le terrain. » Comme dans les meilleures pièces de Feydeau, le dernier acte de la comédie démocratique, dont les répétitions recommencent aujourd’hui avant les deux représentations du et du juin, promet d’être le plus complexe et le plus fertile en surprises. D’abord, le personnage principal des deux premiers actes, qui tire toujours les ficelles en coulisses, est devenu un rôle muet auquel reviendra seulement le mot de la fin. Ensuite, plus question de ménager ses amis et de maltraiter ses adversaires puisque c’est l’attitude inverse qui prévaut. Enfin, les jolis coeurs, qui se disputaient les faveurs de la belle Marianne avant qu’elle ne s’éprenne d’Emmanuel, sont réfugiés dans des palais nationaux ou ont réintégré la société civile. Une demi-douzaine d’entre eux, dont Bruno Le Maire (le vaincu qui ne cesse de se glisser parmi les vainqueurs), risque de devoir plier bagages si les électeurs se montrent moins indulgents que le nouveau chef de l’État. Un ultime rebondissement pourrait de surcroît aboutir à ce que tous les séducteurs, blâmés par le suffrage universel, rentrent chez eux. A la seule exception du mari que s’est donné Marianne pour cinq ans, mais qui devrait accepter d’être trompé par des don Juan plus âgés que lui. Il se vengerait alors en signant des ordonnances, qui sont au . ce que la confiture de fraises est à la marmelade de rhubarbe :
aussi molle mais les pépins en plus.