L’insolite L’info
Un cafard dans des frites chez Quick à Amiens Adrien, un Ch’ti s’est rendu vendredi dernier au Quick d’Amiens pour déjeuner. « J’ai picoré cinq ou six frites et j’ai vu quelque chose de noir au fond. J’ai d’abord pensé à une frite noircie. Mais je l’ai sorti du cornet et j’ai vu des pattes. Aucun doute, c’était un cafard », a raconté Adrien au Courrier Picard. Une enquête pour enlèvement a été ouverte, hier matin, tandis que les recherches se poursuivaient pour retrouver une fillette de ans disparue dans la nuit de samedi à dimanche lors d’un mariage à Pont-de-Beauvoisin (Isère), selon le parquet. « Au regard du temps écoulé depuis la disparition » de la jeune Maëlys De Araujo et « des moyens déployés pour la retrouver, aucune piste accidentelle ou criminelle n’est écartée », souligne dans un communiqué le procureur de la République à Bourgoin-Jallieu (Isère), Dietlind Baudoin. Les investigations se déroulent dorénavant sous la qualification d’enlèvement avec une co-saisine de la section de recherches de Grenoble, la compagnie et la brigade de recherches de la Tour-du-Pin et la brigade territoriale de Pont-de-Bonvoisin, ajoute-t-elle. Un appel à témoins avait été lancé dimanche à heures pour retrouver la fillette, qui mesure m, pèse kg, a la peau mate, les yeux marrons et les cheveux châtains. Elle était vêtue au mariage d’ « une robe sans manches » et « de nu-pieds » de couleur blanche. Les enquêteurs ont reçu quelques appels téléphoniques, qui n’ont pas permis de la retrouver. D’importants moyens de gendarmerie, renforcés par des sapeurs-pompiers et des pompiers volontaires, ont été engagés pour rechercher l’enfant. Depuis dimanche, l’Elysée compte un nouveau locataire qui suscite bien des curiosités. Emmanuel Macron et son épouse Brigitte ont adopté un chien qu’ils ont baptisé Nemo, année des « N » oblige et clin d’oeil à « Vingt mille lieues sous les mers ». Conditions de travail, des membres de la compagnie de CRS basée à Toulouse se mettent en arrêt « En début de semaine, sur les policiers qui devaient rejoindre Paris, ont présenté un certificat médical », détaille RTL. « On sait qu’on a signé pour en chier, pour se déplacer pour faire des heures, mais à une juste rétribution », revendique Olivier Candy, du syndicat Alliance. économique est pourtant plus difficile que la nôtre. Il ne faut pas arrêter de lutter contre le terrorisme. Mais, dans le même temps, nous devons mettre fin au traitement indigne des mineurs, tout comme à la criminalisation, qui me révolte, de ceux qui viennent en aide aux migrants », a estimé Eric Coquerel.
« Macron embourbé »
Le député insoumis est par ailleurs brièvement revenu sur la dynamique de l’université d’été de son mouvement, qui a réuni plus de 3 000 militants ce week-end à Marseille. « Emmanuel Macron est désormais coincé. Son problème est qu’il n’a aucune base sociale et qu’il n’a de surcroît pas une majorité qui soit réellement homogène, en dépit des apparences. Il est d’ores et déjà embourbé et peut se retrouver bloqué. Nous sommes clairement lancés dans un bras de fer avec lui pour le faire reculer sur les ordonnances travail, parce que nous sommes convaincus que notre position est aujourd’hui celle qui est largement majoritaire dans le pays. »