Ils ont aussi voulu témoigner

■ Vincent Tabatabaï de Cannes : «toujours pas de portail» Et soudain vers  h, l’impensable se produit : le boulevard du Soleil est emporté sur  m, ainsi que le portail et une partie du mur de la résidence Le Gallion (...) Après travaux, le résultat est peu réjouissant : une paroi de ciment brut, un talus sans végétation, des rochers hâtivement placés. On n’a toujours pas de portail...».

Denis Serra, du Cannet: « les égouts pas nettoyés». Dans notre petite résidence au Cannet, chemin du Colombier, à chaque grosse pluie, nous avons de l’eau dans les garages, mais depuis cette date, rien de très grave. Les égouts sont souvent remplis de détritus, sacs, bouteilles, épines de pins, papiers...Le nettoyage de ceux-ci n’est à mon avis pas fait régulièrement, et cela aussi contribue, à une mise en charge de la route et une nappe d’eau qui se forme dans le garage».

■ Cathy de Mougins : « Des zombis pendant des semaines ». Nous allons mieux, mais cela été long.(...) Mes deux chats noyés dans notre sous-sol. (...)Etre des zombis pendant des semaines dans la boue, l’humidité et la puanteur des égouts...A réparer les dégats de notre maison, celle de mes parents et celle de ma fille. Toutes dévastées. Nous avons cru mourir cette nuit-là, l’eau glacée jusqu’à la poitrine qui puait le fioul et les égouts (...). Les assurances ont bien fonctionné, notre carrosserie a rouvert. Mais beaucoup de choses n’ont pas été prises en compte ».

■ Jean de Saint Victor de Saint Blancard, de la Napoule: «indemnisé puis résilié». J’ai pu être indemnisé pour une part significative mais après... J’ai été résilié par mon assureur (...) J’ai pu souscrire un nouveau contrat auprès d’un autre assureur en souhaitant n’avoir pas à nouveau à faire un appel en garanties « Catastrophe naturelle» à Mandelieu.

■ Jean-François de Cannes : « Les bouches d’égouts sont remplies de déchets, ce qui empêche l’eau de s’écouler ».

Joëlle, à République : «nos garages toujours pas nettoyés. «Les portes de notre garage submergé toujours pas changées deux ans après ! Et nos garages toujours inutilisables !»