AuSénat, HenriLeroy s’explique avec la ministre Jacqueline G ou rault
Depuisqu’il estsénateur, HenriLeroy nelâcheplus lemicro. Surtoutlorsque le sujet abordé fait partie des es prédilections. Cequiétait lecas, pas plus tard que mardi dernier, dans le cadre des questions au gouvernement. Le sénateur a interpellé Jacqueline Gourault, la ministreau prèsdu ministre d’ État, ministre del’ Intérieur, GérardCollomb. Pourlui tenir le propossuivant: « Quarante-six policiers et sept gendarmes se sont donné la mort depuis le début de l’ année. Un suicide par semaine depuis ledébut del’année ; unsuicideparj our la semaine dernière. Les forces de l’ ordre sontexsangues, tousles jours confronté es à la violence et à l’ absence de respect de l’ autorité, aux insultes et auxinjures sur les réseauxsociaux. Elles nesupportent plus lemanquede soutien, demoyens, deconsidération. » Et comme la réponse de Jacqueline G ou raults’ est avéré eunp eu trop convenueà songoût (elleaparléde “plan de prévention des risques psychosociaux, durecrutementde psychologues, de réseau de référents ”, Henri Leroyar enchéri ... « Jepensequece n’estpasassez ! Il est temps d’appliquer la loipénalesur tout le territoire et de sortir de l’ angélisme comme de l’ impunité qui inspirent la mise en place d’ une police de sécurité, du quotidien ou encore des travaux d’intérê tgénéral. Malheureusement, les conséquences sont traité es plutôt que les causes. Les forces de l’ ordre retrouveront lemoral lorsqu’elles serontre spectées et quel aloi pénale sera appliquée !» Tenace le parlement aire!