Ça tweete Le chiffre La phrase
« Le refus d’être candidat à l’expo universelle de en dit long sur le manque d’ambition de celui qui a fait croire aux Fs qu’il avait une pour la France ! On sait désormais que c’est un gvt de boutiquiers à courte vue. »
maire LR de Villeneuve-Loubet, dimanche, h .
« La situation dans les #prisons françaises est une nouvelle expression de la déliquescence croissante de l’Etat régalien depuis ans, parallèlement à l’augmentation des prélèvements obligatoires et des dépenses publiques. Et le conformisme politique continue. » David Lisnard, maire LR de Cannes, lundi, h . mardi, h .
« Étrange société où la galanterie est un crime sexiste, où l’on demande aux acteurs de cinéma de ne pas fumer, de mettre leur ceinture de sécurité et de manger équilibré mais où le #porno est partout, y compris à la portée des #enfants... #schizophrénie. » eurodéputée FN niçoise, mercredi, h .
« Les grandes manoeuvres chez les LR. Ciotti obtient les investitures au niveau national, du coup Brenier revient à la maison pour surveiller ! » Cécile Dumas, leader du PCF-, mercredi, h .
« On se moque d’empoignades en supermarchés pour des pots de #Nutella. Mais c’est en partie le signe des difficultés quotidiennes de nombreuses familles pour boucler leur budget alimentation. La précarité est là et exerce une pression constante sur les parents en difficulté. » David Nakache, ex-PS niçois, vendredi, h . « Notre département n’est plus le parent pauvre des aides régionales, avec millions d’euros versés pour la seule année .» Cette autosatisfaction émane de Pierre-Paul Léonelli, président (LR) du groupe de la majorité à la Région. Dans le détail, il cite , millions investis en faveur de la culture et de la jeunesse, , millions pour la création d’emplois et la formation professionnelle, , millions pour l’aménagement du territoire, ou , millions consacrés aux lycées. Le Niçois Philippe Vardon, viceprésident du groupe FN au conseil régional, a décidé de postuler à une place au comité central du parti, lors du prochain congrès de celui-ci, programmé les et mars à Lille. « Parce que, dit-il, je souhaite apporter mon expérience et mon espérance au sein de nos instances. » Il ajoute, dans sa profession de foi : «Jen’ai jamais eu le sentiment de faire de la politique, mais simplement ce que je dois, tant par respect pour mes ancêtres que par nécessité pour mes enfants. » Dans le cadre de la réunification du Parti radical et du PRG, le comité national de la nouvelle entité, le Mouvement radical social-libéral, a nommé Patrick Mottard (PRG) délégué régional pour Paca, en binôme avec l’élue valoisienne marseillaise Arlette Fructus. Cette doublette régionale est calquée sur celle de la direction nationale du nouveau parti, coprésidé par Sylvia Pinel (PRG) et Laurent Hénart (PR). « Nous avons pour mission d’oeuvrer à la mise en place des structures locales du mouvement dans les meilleurs délais », précise Patrick Mottard. Hervé Cael, actuel président du PR , a de son côté souhaité rester en retrait pour l’instant, afin de « ne pas être juge et partie» dit-il, dans la mesure où il sera candidat à la présidence de la fédération des A.-M. du parti réunifié. La sénatrice LR Dominique EstrosiSassone a été nommée membre de la commission spéciale chargée de l’examen du projet de loi pour un Etat au service d’une société de confiance. Ce texte, porté par Gérald Darmanin, ministre des Comptes publics, propose notamment d’instaurer une des promesses de campagne d’Emmanuel Macron, le fameux « droit à l’erreur ». En lien avec le futur projet de loi logement qui sera présenté en mars, la sénatrice entend se concentrer sur plusieurs mesures d’urbanisme. Dont celle prévoyant d’expérimenter une obligation de résultat en matière de règles de construction, soit un « droit à déroger » pour les entreprises du BTP qui pourraient s’écarter des règles de construction, lorsque la situation le permet, afin d’aller plus vite. Lors des voeux de La République en marche à Nice, cette formule du député Loïc Dombreval, en forme de jubilation : « Qui aurait imaginé il y a dix ans que Christian Estrosi, contre lequel nous ferraillions avec ardeur, serait aujourd’hui largement converti aux idées d’Emmanuel Macron ? » À l’époque, Loïc Dombreval présidait le Modem des Alpes-Maritimes.
L’entourage d’Eric Ciotti y voit un signe… Ce dernier a succédé à Christian Estrosi à la tête du Département, fin , et il vient par ailleurs d’être nommé à la tête de la commission nationale d’investiture des Républicains, qui fut présidée par Christian Estrosi de décembre à novembre . Les proches du député croisent donc les doigts pour que l’adage populaire se vérifie et porte leur champion à la mairie de Nice au printemps . Si candidature ciottiste il y a, ce qui est encore loin d’être avéré, la pensée magique ne saura toutefois remplacer l’huile de coude, en forte quantité…
Eric Ciotti, qui avait déjà organisé une soirée de voeux au début du mois au Palais de la Méditerranée, remet, comme tous les ans, le couvert ce dimanche. Le député s’adressera cette fois aux Niçois à heures, à la salle Laure-Ecard, , boulevard Saint-Roch.
Initialement prévu avant l’été, le renouvellement des instances départementales des Républicains aura finalement lieu à l’automne. Dans les Alpes-Maritimes, cette échéance est attendue plus qu’ailleurs, Christian Estrosi étant l’actuel président de LR , alors qu’Eric Ciotti en est le secrétaire. L’affrontement pour la présidence aura-t-il lieu ? Pour cela, il faudra d’abord que Christian Estrosi soit encore membre des Républicains cet automne. Il s’est laissé jusqu’à cet été pour trancher la question, au regard de son appréciation de la manière dont Laurent Wauquiez fera vivre les sensibilités dans le parti. Suspense. Cédric Herrou et Pierre-Alain Mannoni, figures de proue de la protection des migrants, sont annoncés ce mardi au Sénat. Ils seront aux côtés de la sénatrice écologiste de Paris Esther Benbassa qui, au nom du groupe communiste, républicain, citoyen et écologiste, y présentera « une proposition de loi visant à abroger le délit de solidarité ». La mise en oeuvre à Nice, sous forme de test pour l’instant, de Reporty, la très discutée application permettant à deux mille agents municipaux et résidants volontaires de se connecter avec le centre de supervision urbain pour signaler toute forme de délit ou d’incivilité, a créé une nouvelle brèche au sein de la gauche niçoise. Si le socialiste Patrick Allemand, soutenu par EELV, le PC et plusieurs associations, dénonce un flicage citoyen, « une incitation à la délation généralisée et une atteinte à la vie privée », Dominique Boy-Mottard et à Nice un problème de sécurité ? Manifestement oui. Peut-on reprocher au maire d’essayer de trouver des solutions ? À l’évidence, non. Même si on peut ne pas être convaincu a priori par l’efficacité du procédé (...), à condition que nous soyons vigilants quant à de possibles dérapages, le test actuel, qui pourra également être utile en matière de sécurité civile, doit, selon nous, être mené à son terme pour que soit évaluée sa pertinence », estime Rachid Temal, sénateur du Val-d’Oise et coordinateur national du PS – il assure, en clair, l’intérim à la direction du parti en attendant l’élection d’un nouveau premier secrétaire fin mars – se déplacera dans les Alpes-Maritimes ce jeudi er février, pour y rencontrer les cadres et militants azuréens. Le FN n’en finit plus de rajeunir ses cadres. Bryan Masson, chef de file du Front national jeunesse azuréen et membre du bureau départemental, la vingtaine toute fraîche, vient ainsi d’être nommé « chargé de mission » (autant dire responsable) du parti dans la e circonscription, celle de Cagnes et Saint-Laurent-du-Var. Il succède à Patricia Troncin et Yoann Saliba. Cet ancien élève de khâgne (classe préparatoire aux concours des Écoles normales supérieures) s’est surtout fait remarquer, jusqu’ici, pour son expression sans filtre.
TH. P.
Avec ma femme, nous discutons politique. C’est bien pour lui faire plaisir, parce que sorti du boulot, je parlerais plus volontiers de l’OGC Nice. Mais c’est ballot, elle a cruellement moins de répondant sur ce foot dont elle fait peu de cas. L’autre jour, nous causions donc du projet de réforme constitutionnelle qui tend à restreindre les élus à trois mêmes mandats d’affilée (). Par principe, j’y suis plutôt favorable. Elle considère au contraire, comme la plupart des édiles en place, qu’il faut laisser le peuple trancher souverainement. Et que si un maire n’est pas bon, quel que soit le clientélisme qu’il pourra tenter d’instaurer, son sort sera scellé par les électeurs. Elle n’a peut-être pas tort, l’impudente ! Même si, par expérience, on sait que les systèmes se verrouillent aussi vite qu’ils se sclérosent. Nous en sommes là de notre réflexion. A peu près aussi stérile qu’un débat sur les mérites comparés du -- et du -- (à ne surtout pas confondre avec le -).
. Cette disposition ne concernerait toutefois que les collectivités de plus de habitants. « Je ne suis pas d’accord avec l’obligation faite par la loi, depuis le er janvier, d’injecter dans le corps d’un nourrisson, dont le système immunitaire est en pleine construction, onze vaccins avec leurs adjuvants potentiellement dangereux. C’est désormais huit de plus qu’auparavant. Est-ce vraiment utile et nécessaire ? »