... et des caméras de vidéosurveillance

Les caméras de vidéosurveillance ont été abordées par Jean-Noël Falcou, qui les trouve trop coûteuses à son goût : « Vous avez prévu un budget de   euros… vous pouvez nous donner des précisions ? Quel est l’avantage d’avoir onze caméras de plus que les cinquante déjà installées sur la commune ? » C’est le maire qui s’est chargé la première de lui répondre: « Pour financer un projet, il doit être inscrit dans le budget. Il faut le prévoir même si, au final, nous ne dépensons pas autant. Si nous avons un besoin de faire et que ça n’est pas inscrit, alors on ne peut pas faire. » Et Michel Molesti, adjoint délégué notamment à la sécurité, de poursuivre: « Il y a des endroits qui ne sont pas couverts et qu’il faut couvrir. Par exemple le bord de mer. Au final, quand vous installez une caméra, il faut la relier à la fibre, donc il faut installer la fibre… ce n’est pas la caméra qui est le plus cher mais tout ce qui va avec. [...] Il est important pour la sécurité de notre commune d’avoir ces caméras de manière à éradiquer la délinquance. On ne peut pas avoir des agents à chaque coin de rue et les caméras sont utiles. » L’élu d’opposition campe sur ses positions : «   euros, c’est le salaire d’un policier pendant  ans. En matière de sécurité, les agents sur le terrain sont plus efficaces... » Pour Michèle Salucki, « nous sommes au XXIe siècle et on ne traite pas la sécurité comme avant. Nous ne sommes pas un petit village. L’idée, c’est de protéger nos agents en étant très efficace. Et ça marche tellement bien que la délinquance a baissé sur notre territoire. »