Agecotel : ces innovations qui mettent l’eau à la bouche La nouvelle ère du mojito Saveurs et mets japonais
A Nice, le salon de l’hôtellerie, de la restauration et des métiers de bouche propose son lot de nouveautés. Elles s’adressent aux professionnels mais ne laisseront pas insensibles les clients
Le gratin de la restauration est réuni au palais des expositions de Nice. La e édition du salon Agecotel a été lancée hier. Un rendez-vous pour les professionnels de l’hôtellerie, de la restauration et des métiers de bouche de la Côte d’Azur et du Grand Sud. La crème de la crème, étalée sur m. Garnie de stands représentant entreprises. Avec, au menu : expositions, dégustations, ateliers et concours. Animations diverses et produits variés. Retour en images sur les stands qui se sont démarqués par leurs innovations. ■ Palais des expositions. Esplanade Maréchal de Lattre de Tassigny. Jusqu’à mercredi de 10 à 19 heures. Invitations sur Depuis le er janvier, la loi oblige les artisans – soumis Bouton) à la TVA – à s’équiper d’un logiciel de gestion ou d’un système de caisse certifiés. Ces derniers doivent Frantz répondre à quatre conditions : inaltérabilité, sécurisation, conservation et archivage des données. (Photos C’est ce que propose Ollivier. Une entreprise familiale, créée en à Nice. Cette PME domiciliée à Saint-Laurent-du-Var vend et loue ses systèmes d’encaissement – fixes et mobiles – ainsi que des monnayeurs aux professionnels. « % du temps, c’est de la location sur trois ou cinq ans, avance le directeur commercial, Alexandre Fighiera. Pour la location du logiciel, il faut compter entre € et € par mois. Pour un monnayeur, c’est entre € et €. » L’entreprise équipe, entre autres, les boulangeries Multari et Moulin de Flor, À découvrir aux stands 91 à 98. Dans la catégorie cocktail, le mojito a une place de choix. Mais le Citrojito entend bien lui voler la vedette. Cette boisson à base de rhum désalcoolisé et de caramel est % naturelle. Elle s’adresse aux barmen férus de mixologie et de créations originales. Elle a été inventée par une jeune start-up lyonnaise, présidée par deux associés, passionnés de cocktail. « On a commencé par monter un réseau de bar à cocktail, relate Calixte Payan, un des fondateurs. Et, en voyant que le mojito était très tendance, on a décidé de faire un produit français, sans alcool, % naturel, qu’on a fait tester à plus de personnes pour avoir le bon dosage. » À découvrir au stand 470. Venu spécialement du Japon pour exposer ses produits locaux, l’Hokkaido club a de quoi séduire! Sur le comptoir en inox, devant deux chefs nippons, trois aliments : l’algue « kombu », la viande de boeuf « shiraoi » et des coquilles Saint-Jacques. Trois ingrédients spécifiques de la région d’Hokkaido, véritable grenier du Japon, situé au Nord de l’archipel. Dans la poêle, l’un des chefs fait d’abord revenir le fruit de mer. Plus gros que la moyenne française. Avec un léger goût de noisette. Tendre en bouche. Comme du beurre. Douceur que l’on retrouve également dans les carrés de boeuf. Saisis sur le feu. Fondant sur la langue. Deux saveurs qui font l’unanimité auprès des curieux et des gourmands. Enfin, présentation de l’algue, ingrédient utilisé dans toutes les préparations culinaires japonaises. Et plus particulièrement, les bouillons. Cet aliment très riche en acide glutamique est à l’origine de la saveur « Umami ». Aussi appelée la cinquième saveur, qui donne une impression de « bon goût ». Une expérience culinaire que l’Hokkaido club espère développer dans la gastronomie française.
À découvrir aux stands 420 A et 421.