YesPark progresse en Paca
Rachida a dit: «Le plus important, c’est de se sentir comme les autres, comme on a toujours aimé être. » Rachida est l’une des cinq millions de femmes vivant sous le seuil de pauvreté en France. Cette semaine, elle témoigne dans une vidéo en faveur de l’Agence du Don en Nature. Eh oui! Le mars tombe cette semaine. Plafond de verre, égalité homme femme, à responsabilités équivalentes salaires équivalents, ça fait des années que j’écris dessus ami dirigeant, m’entendstu ? Ami DRH, nous lis-tu ?) Autant se tourner vers la lumière. Depuis neuf ans, ADN oeuvre contre l’exclusion de manière innovante. L’an dernier, elle a collecté trois millions de produits neufs non alimentaires auprès d’un réseau de entreprises partenaires. Ces dons sont ensuite commandés en ligne par associations et redistribués à personnes en situation de précarité. À l’occasion de la journée des droits des femmes, ADN propose une semaine de sensibilisation. Objectif: collecter produits du quotidien pour celles qui en ont le plus besoin. La collecte se fera auprès des entreprises partenaires grâce au grand public. Internaute, mobilise-toi. Partage sur les réseaux sociaux les quatre vidéos témoignages de femmes. Plus il y aura de partages, avec le hashtag #PourElles, plus les entreprises partenaires remettront de produits à ADN au profit des plus démunies. Yespark, la start-up qui commercialise les places de parking vacantes de résidences privées appartenant aux bailleurs, progresse en Paca. Elle a signé des partenariats avec les principaux bailleurs locaux et met désormais à disposition des automobilistes quarante et un parkings souterrains répartis dans dix-sept communes de la région dont Nice, Marseille, Toulon, Avignon, Antibes, Saint-Raphaël, Fréjus, ou encore Draguignan. La startup compte dix bailleurs partenaires en Paca, soit cinq de plus qu’il y a six mois, dont Grand Delta Habitat, Habitat , Logis Familial, Logis Familial Varois et Mistral Habitat. Yespark affiche des taux de vacance des parkings divisés par deux en deux mois, soit plusieurs dizaines de milliers d’euros de loyers. Des sommes ensuite allouées à l’entretien des résidences et/ou à l’amélioration du cadre de vie des locataires.