«L’écriture des séries est plus riche qu’au cinéma»

Avec son petit air d’Idris Elba, il pourrait être acteur. Mais Ruddy a plutôt choisi d’écrire pour eux. À  ans, le Frenchy fait partie des huit scénaristes résidents, qui rêvent d’avoir un jour leur création projetée à CanneSéries.

Ton parcours en bref?

Je suis déjà scénariste, car je suis parti au Canada sui vre des cours du soir pour cela, et j’ai écrit un documentaire pour France  en , L’amour dans la cité. Après, j’ai voulu faire de la série, car l’écriture st plus intense. J’ai suivi le programme serialeyes à l’école de Berlin, et avec un projet de série d’espionnage années , j’ai été sélectionné pour suivre un stage à Londres auprès du showrunner Franck Sponitz, les scénaristes de X-Files. À mon retour en France, j’ai aussi postulé pour CanneSéries Institute.

Pourquoi la série?

J’étais fan de film noirs, mais je constate que l’écriture est plus riche pour les séries que pour le cinéma.

Tes séries de référence?

Les Soprano, Peaky Blinders, The Leftovers… Pour moi, la qualité essentielle d’un scénario de série, c’est le pouvoir d’identification sur le spectateur. En regardant The good wife, j’étais vraiment dans la peau d’une femme!

Ton projet?

De la science-fiction, je ne peux pas en dire plus…