Maurice Cohen répond à Ange Ferracci
Dans notre édition d’hier, Jean-Pierre Rivère, président de l’OGC Nice, s’est exprimé sur des divergences vécues en interne avec Ange Ferracci, le président de l’association, pointant du doigt « des agissements financiers extrêmement graves ». « De la jalousie » répondait son rival, expliquant notamment que ce n’était pas la première fois qu’un président niçois tentait de l’écarter : « Demandez à Maurice Cohen. » L’ancien président du Gym (-) a alors souhaité exercer son droit de réponse. « La jalousie, elle est dans son camp. Pas dans celui des gens qui travaillent dans l’intérêt du club. Le boulot réalisé par Jean-Pierre Rivère et Julien Fournier depuis leur arrivée (en ), c’est quelque chose de remarquable. Personne n’aurait jamais pensé que ce club puisse atteindre ce niveau-là. Ces personnes méritent beaucoup de louanges au lieu de subir des critiques et des tentatives de déstabilisation. J’ai vécu pendant sept ans ce que vit Jean-Pierre Rivère : à chaque fois qu’il en a la possibilité, Ange Ferracci gêne le bon fonctionnement du club par ses manigances et son réseau. A mon époque, c’était les bruits de couloir sur de pseudos transferts bidons avec les Africains... Depuis trente ans, sa position lui a servi de façon professionnelle. Et elle nourrit son rêve : devenir le président du club de football professionnel de Nice. Quand il dit que j’ai essayé de l’écarter, c’est plutôt le contraire qu’il a essayé de faire. Et je ne suis donc pas surpris de le voir aujourd’hui essayer de se rapprocher des actionnaires sinos-américains pour déstabiliser JeanPierre Rivère. Au lieu de critiquer, il ferait mieux de se taire. »