Paroles d’expert
« Le marché du viager est en croissance. Il intéresse de nouveaux intervenants, à l’image des institutionnels ou de l’État, par le biais de la Caisse des dépôts notamment. Cependant, nous ressentons une certaine crise de confiance de la part des investisseurs, ils hésitent à engager de gros montants et se tournent vers des biens de valeur moyenne. L’activité reprend doucement. Les acquéreurs sont généralement des actifs (% locaux, % hors territoire) qui achètent en prévision de leur retraite, soit dans le but de récupérer le bien et le louer, soit pour le revendre le moment venu. Il y a également aussi une part importante d’institutionnels, via des fonds d’investissement, qui s’intéressent aux biens en viager sur la Côte d’Azur. Ils ont de bonnes perspectives de rentabilité (entre et %) sur le moyen terme, ce qui leur permet de faire une bonne opération. Leur objectif est ensuite la revente. Nous voyons également aujourd’hui beaucoup de familles réaliser des opérations en viager. Les enfants poussent leurs parents vers cette solution pour qu’ils s’assurent un meilleur train de vie. Nous conseillons aux particuliers de se tourner vers de véritables spécialistes car c’est un marché de niche, avec des particularités propres. »