De l’économie du cinéma
à une approche commune, y compris avec Toulon et Marseille, pour mettre en réseau ces équipements. Chacun se situe dans un territoire très fort et légitime, soit par l’histoire, soit par l’actualité, l’idée étant d’être aussi complet que possible dans la chaîne.Aujourd’hui, en toute objectivité, il n’y a pas du tout de chevauchement car nous ne sommes pas sur les mêmes formats. Ni sur les mêmes étapes de la production d’une oeuvre de création. » Entre le « studio en plein air » qu’est la Côte d’Azur et que David Lisnard promeut avec la Commission du film (lire ci-contre), et les unités de postproduction, d’effets spéciaux, de doublage et de valorisation par le numérique, il y aurait donc suffisamment de place : « Je ne suis pas inquiet sur la complémentarité.»