Rendez-vous sept.
élue PRG niçoise, lundi, h .
« Je suis d’accord avec chacun de ses mots... Christian, qu’est-ce qu’il nous arrive ? » Xavier Garcia, n° du PS-, lundi, h , au lendemain d’une interview de Christian Estrosi à BFMTV.
« Quand on veut loger les réfugiés qui dorment dehors ils nous disent : “Nos SDF d’abord !”. Mais dès qu’on en parle moins, ils veulent chasser les SDF de la place du Pin ou de Garibaldi... Les extrêmes droites niçoises oscillent inexorablement entre cynisme et bêtise crasse... » David Nakache, DVG niçois, mardi, h .
« Réactions politiciennes #PlanSanté #Macron. Si tous ceux qui critiquent avaient agi lorsque qu’ils étaient en responsabilité ou déployaient autant d’énergie à faire des propositions concrètes nous n’en serions pas là aujourd’hui ! » Hervé Caël, président du Parti radical-, mardi, h .
« On n’est plus dans le virtuel. La taxe foncière vient d’arriver. + % #metropole. » Vanessa Siegel, élue départementale DVD, mercredi, h .
« Ne jamais oublier que lors des départementales , Ciotti a préféré faire élire des socialistes et des communistes face aux candidats nationaux. Quelle arnaque ce type. » Philippe Vardon ,éluRN niçois, jeudi, h . L’ancien député UDI Rudy Salles, adjoint au maire de Nice dont il est un très proche, a demandé vendredi à Eric Ciotti de retirer des réseaux sociaux la photo (ci-dessus) sur laquelle il figurait. Membre du Nouveau Centre, Rudy Salles s’est insurgé contre l’utilisation de cette photo en vue de l’élection du nouveau président départemental des Républicains, dans la mesure où lui-même n’est pas membre de LR et où elle pouvait laisser à penser qu’il soutient Eric Ciotti, ce qui n’est pas du tout le cas. Au contraire, lui a-t-il écrit, « vos attaques permanentes contre Christian Estrosi m’amènent à condamner régulièrement vos attitudes et procédés à son encontre et à l’encontre de notre municipalité. L’image que vous utilisez remonte aux dernières législatives où des investitures uniques avaient été données par nos partis. Depuis, vous vous comportez comme un opposant à notre équipe municipale, un adversaire résolu, un diviseur déterminé. Vous comprendrez que je n’accepte aucune ambiguïté ». Eric Ciotti a enlevé la photo incriminée, s’amusant de son côté d’une tempête dans un verre d’eau et d’un émoi surjoué : « Cette photo datait effectivement des dernières législatives, quand Rudy Salles aspirait à mon soutien. Je n’avais même pas fait attention qu’il y figurait. Mais je l’enlève d’autant plus volontiers que je ne voudrais surtout pas que ses ambiguïtés macroniennes sèment le trouble parmi mes électeurs. » Alain Terrenoire est président de l’Union des anciens députés gaullistes. Il vient d’adresser un courrier à Christian Estrosi, Valérie Pécresse, Alain Juppé, François Baroin et Xavier Bertrand pour les encourager à conduire « une liste authentiquement gaulliste » aux européennes. Cela, leur explique-t-il, pour défendre la vision gaulliste qui reposait sur « une Europe indépendante, capable d’assurer sa sécurité par une défense autonome, en associant les gouvernements en conseil exécutif et non sous une tutelle supranationale ». Alain Terrenoire s’oppose, dit-il, « aux usurpateurs vous diront que je suis là depuis trop longtemps. Mais ce qui compte, c’est l’énergie, la passion, la vitalité, plutôt que l’âge des artères. Nous avons Menton au coeur, aux tripes. Et le sentiment d’être utiles. Je serai donc candidat en . Pas pour enfiler des perles, ce serait ridicule. Ni pour ma carrière politique, elle est derrière. Ni pour préparer une élection future : ce sera ma dernière. »
Hervé Cael, président du Parti radical azuréen, s’inquiète de la radicalisation du discours politique, illustrée par le dérapage sur twitter d’Erik Tegnér, candidat à la présidence des Jeunes LR (et par ailleurs élève de la nouvelle école de sciences politiques ouverte à Lyon par Marion Maréchal) : « Qu’attendons-nous pour purger Les Républicains du virus centriste incarné par Juppé, Raffarin, Estrosi ? » Pour Hervé Cael, au-delà de sa forme douteuse, « cette plaidoirie décomplexée pour l’union de toutes les droites » entérine la volonté de certains LR de s’unir au Rassemblement national. « La droite se retrouve face à un véritable choix de valeurs pour ses alliances futures. Nous avions la droite la plus bête du monde, nous avons aujourd’hui la droite la plus clivante. Ce fossé entre les composantes de la droite, plus profond que jamais, est sans doute irréversible. » Il conclut, pas avare d’excès lui non plus, en invitant « les édiles nationaux Sur proposition du président national, le Niçois Jean-Christophe Picard, Jean-Valéry Desens, conseiller municipal d’opposition divers droite à Mandelieu, vient d’être nommé co-référent départemental d’Anticor, l’association qui défend l’éthique en politique. Il remplace Jean-Noël Falcou, élu d’opposition à Vallauris, qui souhaite se focaliser sur son action locale et son métier. L’autre co-référent reste le Trinitaire Gilles Rainero. Desens, qui voit dans cette nomination une reconnaissance de « sa manière de faire de la politique », entend travailler autour de quatre axes : « Imposer aux élus des chartes de pratiques exemplaires ; faire respecter la législation aux acteurs politiques, en estant en justice si besoin ; faire cesser les forces lobbyistes et les pratiques électorales qui visent à conforter le pouvoir de quelques-uns ; former les élus afin qu’ils connaissent mieux leurs droits et devoirs. »
TH. P.
Le Département organise ce jeudi septembre, de h à h au stade Allianz Riviera à Nice, son salon Connect’. Une journée portes ouvertes pour permettre aux Maralpins de « venir à la rencontre de leur président, Charles-Ange Ginésy, des conseillers départementaux, et découvrir les services de la collectivité ».