Srarfi a refait le coup
BENITEZ : il a pris un risque au départ du but de Srarfi avec une relance osée sur Herelle. Un pari payant ! Décisif face à Mubele juste avant la mi-temps (45’).
HERELLE : une intervention salvatrice dans la surface face à Gradel (26’) qui symbolise assez bien sa rigueur défensive. Dans la relance, il peut mieux faire, comme sur ce raté face à Gradel qu’il a fort heureusement rattrapé.
DANTE : il a été d’une grande efficacité dans le jeu long, comme souvent… Solide dans le duel, également.
SARR : il a effectué quelques bons décalages vers Coly et s’est montré investi sur le plan défensif. Quelques absences, parfois, mais rien de bien méchant.
ATAL : la Ligue 1 le découvre et à chaque fois, cela fait son effet. Tout au long du match, il n’a jamais cessé d’enquiquiner Moubandjé par son culot et ses jambes de feu. Concentré dans son camp. Une bonne volée à son crédit (20’), qui a fui le cadre.
TAMEZE : il a perdu quelques ballons dans des zones où il ne faut pas en perdre, mais il a eu la force d’en gratter pas mal. Sans plus...
LEES-MELOU : plus bas que lors des derniers matchs, il s’est retrouvé le plus souvent face au jeu, ce qui lui a permis de rayonner. Précieux à la récupération – c’est lui qui gagne un duel avant le 1-0 -, il a orchestré le jeu à sa guise.
COLY : c’était cohérent jusqu’à son oubli sur Dossevi qui a égalisé. Forcément, ça a tout gâché. Quelques bonnes percées, mais le mal était fait. SRARFI : encore un but à Toulouse après celui si important inscrit en novembre dernier. De bonnes intentions, mais il a baissé de rythme après la pause. Remplacé par Walter (69’), auteur d’une bonne entrée.
SAINT-MAXIMIN : toujours cette capacité à créer le désordre dans la défense adverse et d’être à l’origine des meilleurs occasions niçoises. Il aurait peut-être pu frapper en une touche après avoir éliminé Reynet, avant le raté de Myziane. Après ça, on l’a moins vu. Remplacé par Sacko (84’).
MYZIANE : une nouvelle passe décisive – la troisième -, même si ce n’était pas non plus un caviar pour Srarfi. Avant ça, il avait gagné cinquante mètres au prix d’une belle course vers l’avant. Seul face à la cage, il a mangé la feuille de manière incompréhensible (57’). Quel dommage !