Jules Bianchi statufié à domicile Winfield, le retour gagnant
Ce fut un temps fort du week-end empreint d’une vive émotion. Samedi, la ‘‘statue’’ de Jules Bianchi créée par l’illustrateur cannois Yvon Amiel a accompagné les vainqueurs de la catégorie Am, Arnaud et Olivier Gomez (Maserati Gran Turismo), sur la plus haute marche du podium de la course . Là même où le pilote niçois disparu beaucoup trop tôt était monté il y a pile six ans, après avoir triomphé en Formule Renault .. Au Castellet, dans son jardin, « L’Audi R LMS d’Olivier Pernaut et Philippe Marie porte le dessin de la couverture du onzième album, ‘‘Antoine au Grand Prix de France’’, dont la sortie est imminente », précise Yvon Amiel, qui a enchaîné les séances de dédicaces deux jours durant dans le box avec le père de Jules, Philippe Bianchi . « Quant à cette statue collector d’, m, elle est l’objet d’une série limitée. Il y aura exemplaires, un clin d’oeil à son numéro de course. » un beau trophée pour cette épreuve et un hommage mérité pour Jules, non ? Voilà pourquoi Philippe va soumettre cette idée aux organisateurs... » Contact : yvon.amiel@wanadoo.fr Il y a huit mois, il remportait le Volant Winfield, ô combien fameuse épreuve de détection relancée l’hiver dernier au Castellet. Aujourd’hui, il est champion de France F. A ans, Caio Collet (ci-dessus, au centre) incarne parfaitement la ‘‘pépite’’ attendue depuis des lustres par tout le Brésil. Le pilote originaire de Sao Paulo roulera-t-il sur les traces de l’icône Ayrton Senna ? L’avenir le dira. En attendant, à l’occasion de la finale varoise, celui-ci a été convié à fêter son premier titre en monoplace dans les locaux de l’école Winfield jouxtant la ligne droite du Mistral. « Le parcours exemplaire réalisé par Caio en ( victoires, ndlr) constitue une superbe vitrine pour cette sélection que nous avons ressuscitée avec le soutien inconditionnel du circuit PaulRicard », a tenu à souligner Frédéric Garcia, le président du groupe Winfield (à gauche), en présence de Stéphane Clair, le directeur général du temple varois des sports mécaniques (à droite). « Caio va maintenant voler de ses propres ailes. Avec un manager tel que Nicolas Todt, nul doute qu’il peut voir loin et viser haut. Quant à nous, on planche évidemment sur le prochain Volant Winfield. Rendez-vous fixé ici même en février ! »