À bord
L’allongement et l’élargissement de l’auto ont grandement profité à l’espace intérieur et plus précisément aux places arrière. La banquette coulisse selon les besoins de volume du coffre qui gagne, par rapport à sa devancière 100 litres de chargement (!). Un point essentiel pour différencier le Cayenne de son petit frère Macan, aujourd’hui best-seller de la firme allemande. Le Cayenne jouit d’une finition et d’une position de conduite toujours aussi exemplaires. On adore le large repose-pied pour bien se caler en courbes, mais aussi la présentation générale de la console centre de la Panamera tellement flatteuse. L’écran tactile de 12,3 pouces est très intuitif et les graphiques du GPS particulièrement lisibles. Les fonctions de réglages de clim à l’avant comme à l’arrière avec leur retour haptique (comme sur le dernier iPhone) s’avèrent très agréables et qualitatives au toucher. L’insonorisation a été tellement poussée pour profiter du confort princier qu’on aurait aimé davantage sentir remonter la sonorité du plaisant V6 (ou du V8 de la Turbo). Derrière le volant, l’incontournable compte-tours à aiguilles mais, de part et d’autre deux écrans modulables à sa guise; avec la formidable fonction (en option) d’assistance de vision nocturne et sa caméra thermique qui vous signale la présence dans l’obscurité d’une personne ou d’un animal. Testé et approuvé