Nice-Matin (Cannes)

Ces précédents mariages « turbulents »

- M. M.

■ Insultes et scooters sur les trottoirs er septembre . Il est près de h, heure à laquelle les mariés ont rendez-vous à la mairie de Nice pour se dire «oui», quand Christian Estrosi est alerté. Le cortège des futurs époux, parti du quartier Saint-Barthélemy, perturbe la circulatio­n et ne respecte pas le code de la route. Sur les images de vidéosurve­illance : des voitures et des scooters roulent sur les trottoirs et bloquent la route. Le maire de Nice invoque le non-respect de la charte des mariages, mis en place en . La cérémonie est reportée au lundi suivant. ■ Conduite sans casque et invités en garde à vue  septembre . C’est à nouveau sur les images des caméras de vidéosurve­illance qu’un cortège se fait repérer, alors qu’il part de Riquier en direction de la mairie de Nice. Pilote de scooter sans casque, entrave à la circulatio­n, contresens... Le vieux-Nice est bouclé et les époux et leurs invités, sont escortés par des policiers. Des membres de la famille parlent même d’individus menottés. Les mariés présentent leurs excuses et célèbrent finalement leur union le lendemain. ■ Un «pugilat» devant la mairie  juin . La police repère rapidement un cortège turbulent sur la promenade des Anglais. L’un des invités est interpellé pour conduite dangereuse. Arrivés devant la mairie avec une heure de retard, les invités sont finalement deux fois plus nombreux que ce qui était prévu. Compliqué pour les agents de la Ville, qui décident alors de filtrer l’entrée de la mairie. Certains invités sont décrits par la directrice de la police municipale comme «très agressifs». L’un d’eux giflera même la fonctionna­ire. Le parvis est évacué, et trois des invités finissent en garde à vue.

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