Dis, intelligence artificielle que changes-tu vraiment ? L’événement
Le Sophia-Summit va réunir cinquante experts issus du monde académique et de l’entreprise à Sophia les 7, 8 et 9 novembre. Cinq questions à se poser sur l’IA avant d’y aller
La question, avec l’Intelligence artificielle, n’est plus de savoir s’il faut ou non y aller mais pour quoi faire, à quel rythme et avec quels moyens. Qu’elle inquiète ou séduise, l’IA est une réalité. Perceptible par ses applications comme les assistants personnels, la voiture autonome ou la médecine personnalisée. Travaillée depuis des dizaines d’années déjà par les scientifiques en recherche fondamentale. Attirant les meilleurs cerveaux chez les géants technologiques en Californie et en Chine, mais pas uniquement. Sur le Vieux continent aussi, les systèmes apprenants taraudent les technopoles. Celle de Sophia, la première d’Europe se plaît à rappeler l’écosystème azuréen, va braquer ses projecteurs sur l’IA les 7, 8 et 9 novembre. Impact sur la santé, l’économie, les transports, l’éducation, le vivant, la créativité, l’humanité numérique,... Trois jours durant, cinquante experts issus du monde académique et de l’entreprise vont échanger au cours de sessions techniques et Master Classes. Des conférences, version grand public, viendront aussi alimenter la réflexion. La volonté des organisateurs: montrer que la France et Sophia sont des acteurs qui comptent dans l’Intelligence artificielle. Économiques, éthiques, provocatrices, constructives, voici cinq questions à se poser sur l’intelligence artificielle auxquelles le Sophia-Summit répondra.