On doit dire quand un match n’a pas été bon
Bien sûr. C’est plus difficile qu’au début de ma carrière. A l’époque, on pouvait presque rentrer dans le vestiaire. Au Bayern, quand j’y étais, ça m’arrivait fréquemment d’aller manger avec le journaliste français qui venait me voir. Aujourd’hui, c’est un peu plus dur, c’est dommage. La machine médiatique est attirée par les extrêmes et, du coup, les joueurs sont très prudents... Ils ont plus la trouille en fait. (ferme) J’ai pas à juger ! Je ne juge pas ce que font mes potes, ni les autres consultants... pages Seuil euros
Un mot sur Grégoire Margotton, avec qui vous commentez Un super partenaire. On s’entend très bien, on s’est régalés pendant la Coupe du monde, notamment le match contre l’Argentine. Le commentaire en France, c’est toujours en duo, et le duo, c’est comme sur le terrain. C’est important de se faire les bonnes passes !