EN IMAGE Une vidéo tournée sur « l’origine de la captivité »
« Il y a cinq ans, on était dix-neuf au rond-point des Groules », se souvient Corinne Bouvot qui, aujourd’hui, salue la mobilisation des membres du Groupe anticaptivité, mouvement citoyen de lutte contre la captivité des cétacés et des animaux dans les delphinariums. Lors du dernier happening en date sur la plage le long de la route du bord de mer, face au complexe hôtelier jouxtant le parc marin d’Antibes, ils étaient . Un mouvement qui donnera lieu à une vidéo diffusée prochainement sur les réseaux sociaux. Comme le souligne Eric Devillard, il s’agit d’un outil de « sensibilisation » se voulant « esthétique» mais avant tout « pédagogique ». Corinne Bouvot explique : « En plus des images tournées lors de notre action, nous allons inclure des photographies, notamment du film Blackfish. Et nous allons axer les choses sur l’origine de la captivité. Parce que tous les animaux ne sont pas nés par insémination artificielle dans les parcs. Certains ont été arrachés à leur milieu naturel. Nous souhaitons montrer cette réalité. »