Ça tweete
« Il faut annuler ces augmentations des impôts et taxes au er janvier. Les socialistes dont Emmanuel #Macron a été un artisan ont augmenté les impôts de milliards d’euros, il continue aujourd’hui cette politique. »
mardi, h .
« Ce qui a fait la force d’Emmanuel Macron (sa nouveauté dans un paysage politique rejeté) est aujourd’hui une faiblesse. S’il avait été élu local, l’incompréhension mutuelle avec la vague de mécontentement populaire ne serait pas aussi abyssale. »
n° du PS-, mercredi, h.
« @EmmanuelMacron se trompe en apportant une réponse punitive au défi du développement durable ! Plutôt que d’augmenter les taxes sur le diesel, je propose qu’il supprime les taxes sur les produits respectueux de l’#envrionnement ! En tant que Président de #Région, je l’ai fait. » président LR de la Région Sud, mercredi, h .
« Si les @_Gilets_Jaunes_ élargissent leurs revendications, ils vont perdre toute crédibilité ! » Serge Amar, élu PR antibois, vendredi, h .
« Bénéfices des grandes surfaces en chute libre. Péages gratuits. Blocage des grandes zones industrielles. Mobilisation constante des forces de l’ordre depuis plus de jours. #Macron le grand financier, le génial économiste, accélère la faillite ! » La République en marche des AlpesMaritimes a présenté à ses adhérents la synthèse de la Grande Marche pour l’Europe qu’elle avait organisée du avril au mai . Plus de quatre cents questionnaires ont été remplis lors de cette action de porte-à-porte. « Notre démarche visait avant tout à donner la parole aux habitants, sans tenter de les convaincre. Cette parole libre représentait pour nous une condition indispensable pour faire un constat objectif de la perception de l’Union européenne », souligne Barath Tripard, coordinateur Europe de LREM . A l’arrivée, près de % des Azuréens interrogés attendent que l’UE améliore leur situation économique, tandis que % sont sensibles à la gestion des flux migratoires. La défense et la sécurité des Européens doivent être mieux assurées pour % d’entre eux. Des préoccupations hiérarchisées de façon un brin différente qu’à l’échelle nationale, où la sécurité et la défense arrivent en tête, suivies par l’économie, l’écologie et le défi migratoire. Quelles que soient leurs insatisfactions ou leurs attentes, % des Maralpins consultés ont malgré tout estimé que la France avait besoin de l’Europe pour réussir. Le député marcheur Loïc Dombreval, qui sait faire preuve de recul sur le monde politique, s’amuse de l’activisme forcené de certains de ses collègues, qui multiplient les propositions de loi et amendements, lesquels n’ont le plus souvent aucune chance d’aboutir, juste pour améliorer leurs stats sur les sites qui évaluent – de façon quantitative – l’activité des parlementaires. « A titre d’exemple, indique-t-il, près de amendements ont été déposés sur la loi Elan, quand la loi Veil de sur l’avortement en avait suscité moins d’une centaine et pas davantage celle de Robert Badinter sur l’abolition de la peine de mort, en . » La réduction d’un tiers des effectifs, si elle est engagée, n’arrangera pas les choses à l’approche de , en renforçant encore la compétition entre députés, y compris du même bord. « Nous n’avons pas besoin que nos élus enfilent un gilet jaune, mais qu’ils assument le mandat qui leur a été confié. » Nicolas Roland, président du Modem , appelle à une double démarche après les violences d’hier, « qui consacrent la rupture flagrante entre une partie de nos concitoyens et le Président porté il y a quelque mois à peine par une envie de renouvellement démocratique ». Bien difficile pour nos gouvernants d’en appeler à la raison, constate-t-il, «lorsque les chômeurs, les retraités, les travailleurs précaires, les ruraux vivent chaque jour la difficulté de se déplacer, se chauffer, d’obtenir un revenu décent. Et pourtant, notre mode de vie épuise chaque jour un peu plus nos ressources naturelles. Nous avons besoin d’une révolution créative qui garantisse à chacun son droit à bien vivre ». Les corps intermédiaires délités, notre système politique devenu « un pantin désarticulé », il exhorte donc à la fois les parents à expliquer à leurs enfants « que refuser le changement plutôt que contribuer à son juste avènement est mortifère », et les élus de la majorité à « recueillir l’adhésion du plus grand nombre pour pérenniser leur action ». Charles-Ange Ginésy a profité du vote du budget départemental, vendredi, pour réitérer son « opposition totale à toute métropolisation imposée ». Une position qu’il avait développée mercredi à Paris, lors d’un entretien avec Jacqueline Gourault, la ministre de la Cohésion des territoires. « Une entrevue, a-t-il indiqué, qui lui a laissé un goût d’inachevé, puisque la ministre a tenu un discours sur les vertus d’une ultra-concentration autour des métropoles, déconnecté de la réalité des territoires. » Le président du Département a donc appelé le gouvernement à clarifier sa position au plus vite, en prévenant : « Comptez sur moi pour ne rien lâcher quant à l’avenir de notre institution ! » Au nom du groupe estrosiste au conseil départemental, Lauriano Azinheirinha a de son côté rappelé que Christian Estrosi ne voulait «nila suppression du Département, ni élargir le périmètre de la Métropole », tout en défendant le dynamisme économique et la solidarité territoriale qu’impulse cette dernière. Il semble, de toute façon, que le gouvernement, qui a bien d’autres chats à fouetter, n’ait plus grande envie de s’attirer de nouvelles foudres avec une métropolisation aux forceps… Vice-président aux Transports de la Région, Philippe Tabarot a rencontré à Bruxelles Iveta Radicova, ancienne Première ministre slovaque, aujourd’hui coordinatrice du corridor européen méditerranéen. Elle lui a confirmé que le choix de l’axe Marseille - Nice - Vintimille - Gênes comme axe prioritaire européen, acté avant l’été, entrait désormais dans sa phase concrète. Ce qui va signifier d’importantes subventions européennes pour la future Ligne nouvelle Paca, mais aussi pour les lignes ferroviaires transfrontalières, dont celle reliant Nice à Cuneo. La décision du conseil municipal niçois de donner le nom de Jacques Médecin à une rue du Vieux-Nice n’en finit pas d’ulcérer à gauche. « Après Charles Pasqua, la ville de Nice honore le multirécidiviste Jacques Médecin, quatre fois condamné à de la prison ferme. Quand arrêtera-t-on de glorifier le clientélisme et la corruption àNice?» , s’émeut David Nakache, président de l’association Tous citoyens !, qui demande « à ce qu’aucun nom de rue ne soit attribué à une personne condamnée pour des faits liés à la corruption, mal qui gangrène notre société et la Côte d’Azur en particulier ». Les « gilets jaunes » et tous ceux qui tirent le diable par la queue vont me bénir. J’entends les anathèmes : « Ces nantis (pourris) de journalistes ne valent pas mieux que les politiques. » Je ne peux, malgré tout, refréner ces temps-ci ma compassion pour Macron. Chef de l’Etat, ce n’est plus une vie ! C’est aujourd’hui la certitude, quoi qu’on dise ou fasse, de se faire taper dessus sans relâche. Les réseaux sociaux et les chaînes d’info en continu ont gâté le métier. Plus une journée ne passe sans une polémique propice à casser du sucre sur le dos présidentiel. La petite bête s’insinue partout. Il faut avoir des reins en béton. Toute parade étant vouée à l’échec, quand le fatras des tracas individuels, si légitimes soient-ils, vient submerger le sens des ambitions collectives. Davantage que le débat, les réseaux sociaux dopent un entre-soi body-buildé et revendicatif. Dans cette caisse de résonance sans égale, le bourrichon des rancoeurs se monte à la vitesse de la mayonnaise. Encore le Président doit-il s’estimer heureux quand on ne lui fait pas dire le contraire de ce qu’il a dit. Relever ce défi impossible exige un sens exceptionnel du service public ou… un goût immodéré du pouvoir. Je vous laisse en décider. Surtout pour qui pourrait, chez Rothschild, gagner trois fois plus pour trois fois moins d’emm…