Enterrée à un mètre de profondeur
La terre polluée, qui représente près de m, sera coffrée dans une poche hermétique de trois épaisseurs en géotextile étanche, afin qu’elle ne soit plus en contact avec l’air ou l’eau. « Elle sera enterrée à un mètre de profondeur, et recouverte de terre saine », détaille Michel Tani. Un procédé « très longue durée » selon lui, qui écartera tout risque potentiel de pollution pour de nombreuses années. L’opération, d’un coût de €, devrait durer jusqu’à la fin février.