LA MONTAGNE : un autre mode de vie
Focus : Le département compte près de 15 stations de basse ou moyenne altitude, chacune avec un charme bien particulier.
Que l’on préfère l’ambiance intime du village ou l’émulation d’une station de ski, chacun peut trouver le cadre de vie qui lui convient dans les hauteurs des Alpes-Maritimes. Parmi les grands sites, Auron et Valberg sont ceux qui su mixer les ambiances. Ils préservent l’héritage patrimonial des petits villages, tout en misant sur le développement d’ensembles plus modernes pour accueillir la population touristique. Du côté d’Isola 2000, station de construction plus récente, grands immeubles des années soixante-dix, résidences de tourisme et petits chalets composent le paysage immobilier. Plus moderne certes, mais entourée par un environnement unique, aux portes du Parc du Mercantour. La Colmiane et Roubion sont, quant à elles, des stations plus authentiques, où les habitations ont une allure typique de montagne. L’une étant nichée au coeur d’une vallée verte baignée de soleil, l’autre perchée sur un éperon rocheux. Dans l’arrière-pays grassois, Gréolières-les-Neiges et l’Audibergue, sont des espaces plus intimes, entourés de forêts, à quelques encablures seulement de la côte, où se nichent de petites maisons de village provençales et de haute montagne.
Acheter une résidence secondaire
C’est la finalité de nombre d’investisseurs. Louer son bien meublé nécessite un contrat écrit et les procédures de location sont sensiblement les mêmes que pour un habitat classique (état des lieux, caution, assurance). En deçà d’un certain plafond de recettes locatives par an, le propriétaire est soumis au régime des « micro-entreprises » (simple tenue d’un livre-journal pour la gestion des loyers). Mais ce dernier peut également opter pour le régime réel d’imposition (tenue d’une véritable comptabilité selon les règles du BIC). Son revenu imposable pour cette activité sera égal à la différence entre le montant réel des recettes et celui des charges (location et acquisition, conservation et entretien du logement). En parallèle de celles-ci, comptabilisées TTC, le loueur meublé pourra pratiquer un amortissement annuel sur tous les biens dont le prix unitaire dépasse 500 euros (mobilier : 10%/an pendant 10 ans et logement : 2%/an). Plus d’informations sur : www.service-public.fr