Ils ont dit
« J’ai ouvert en mai et depuis la fermeture de la rue, j’ai perdu % de mon chiffre d’affaires. Soit entre et € par mois. La clientèle des congrès ne passe plus par là. Avec cette réouverture, la mairie fait un effort. Mais aujourd’hui, je n’arrive plus à payer mes charges. De dix salariés on est passé à trois. Mon affaire est en danger. Avec mon voisin Vilfeu, nous menons une action en justice en référé contre le promoteur pour obtenir réparation. Nous avons demandé une provision de €» . « Je suis ravie de cette réouverture. Pendant les congrès, cela m’a pénalisé. Il faut voir les effets de la conjoncture aussi. Je pense qu’il y a différents facteurs. Le fait que les congrès sont parfois plus courts joue aussi. C’est difficile pour moi de dire que mon chiffre d’affaires a vraiment baissé à cause de cela. J’ai fait le meilleur mois d’août depuis trois ans et un mois de novembre très mauvais... Ce qui a été étonnant, c’est qu’il y a eu un vrai manque de concertation dans cette affaire. »