Fermeture de Monoprix : les questions et les propositions des communistes
Revoici les communistes, mais de Grasse cette fois-ci. Qui s’interrogent sur la fermeture prochaine du Monoprix du centre-ville, programmée pour octobre . Sur le sujet, ils veulent obtenir de Jérôme Viaud « des réponses concrètes et précises » aux questions suivantes :
« . Dans un contexte déjà fragilisé, la fermeture de Monoprix ne peut que renforcer les inquiétudes. Rappelons cependant que faute d’avoir trouvé un accord satisfaisant avec la municipalité sur la ZAC Martelly, l’enseigne s’était désengagée du projet il y a un peu plus d’un an. Le maire avait alors annoncé qu’il était en négociations avec d’autres enseignes. Maintenant que la date de fermeture est annoncée, il est important de savoir : d’une part, si tout a été fait pour que Monoprix renonce à fermer ; d’autre part où le maire en est de ses démarches pour trouver une enseigne équivalente au plan de l'offre qui puisse prendre la succession de Monoprix ?
« . La durée des travaux prévus pour Martelly ( ans minimum) va-t-elle permettre à cette nouvelle grande surface de s’implanter et de travailler dans de bonnes conditions ?
« . Aucun abonné du parking Martelly, pour avoir dû transférer son stationnement à La Roque, n’a oublié que les travaux devaient commencer il y a deux ans. Peut-on seulement espérer que les travaux débutent un jour ? Jérôme Viaud annonce dans Nice-Matin qu’une convention serait signée avec Bouygues en . Comment se fait-il qu’aucun contrat n’ait été signé ? »
Ce n’est pas tout. Les communistes grassois ont aussi des propositions. Que voici :
« . La gratuité quotidienne de deux heures consécutives de stationnement.
« . Le retour de la gratuité complète le samedi dans tous les parkings municipaux (vacances scolaires et estivales comprises, au moins pour les résidents grassois).
« . L’allongement du temps de gratuité en stationnement urbain.
« . La gratuité des bus sur le territoire grassois le samedi.
« . Le soutien et l’accompagnement des personnes âgées et/ou invalides dans leurs courses en centre-ville. »