Nice-Matin (Cannes)

Les précisions de Pascal Zawarski

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Usant de son droit de réponse, Pascal Zawarski fait valoir son point de vue à la suite de l’article paru dans nos pages d’Antibes-Juan-lesPins le 6 mars dernier, sous le titre : Il vend des voitures qui ne sont pas à lui et disparaît.

« Je tiens à préciser que je n’ai jamais disparu et que la société Auto Country dont j’étais le gérant a travaillé plusieurs années avec le garage Trianon, à Juan-les-Pins, sans problème en lui achetant des lots de voitures pour les revendre ce que le garage Trianon par M. Viscarello, reconnaît.

« Ce Monsieur a décidé, d’autorité, devant les difficulté­s financière­s de la société Auto Country, de lui vendre sous forme de prêts des lots de voitures, dont le dernier comportait 6 véhicules. Ces prêts déguisés ont été reconnus dans l’article litigieux par M. Viscarello. Sur 6 véhicules, 4 ont été revendus par la SARL Auto Country, 2 autres ont été restitués au garage Trianon, lequel garage a récupéré 2 autres véhicules appartenan­t à la société Auto Country, dont un Espace Renault en compensati­on. « Je n’ai jamais disparu. Je demeure au même domicile avec ma compagne depuis 10 ans. Le siège social de la Société Auto Country est le même depuis sa création. J’ai présenté au tribunal de commerce d’Antibes une demande de liquidatio­n pour la SARL Auto Country qui a été acceptée, en présence du parquet de Grasse.

« Les difficulté­s financière­s de cette société ont pour origine un redresseme­nt fiscal, avec blocage du compte bancaire par le fisc. De ce fait, plusieurs cartes grises n’ont pu être payées. Je suis en contact permanent avec la société BTSG d’Antibes, mandataire liquidateu­r désigné par le tribunal de commerce, seul compétent pour recevoir les doléances et demandes des créanciers et enjoindre au garage Trianon de remettre les cartes grises aux acheteurs des véhicules, sans délai et sans condition et mettre ainsi fin à ces rétentions illégales dont je suis en rien responsabl­e. Les faits relatés dans l’article litigieux ne sont pas de nature pénale mais exclusivem­ent commercial­e. »

N.D.L.R. : Pour l’objectivit­é de l’informatio­n, nous nous devons de rappeler qu’avant la parution de cet article, Pascal Zawarski a été plusieurs fois contacté par notre rédaction. En vain. L’avocat de Pascal Zawarski, Me Jacques Salvaterra, que nous avons joint par téléphone, nous avait indiqué que l’état de santé de son client, alors en arrêt maladie, ne lui permettait pas de répondre. Et précisé aussi qu’aucune procédure n’était lancée contre son client. Des informatio­ns que nous avons publiées.

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