Une attractivité accrue
Quels sont vos axes de développement ?
Préserver notre joyau. Nous le savons bien depuis l’attentat de : on ne peut plus faire de l’hôtellerie en négligeant les gens. Ça n’existe plus. On a amélioré notre sens de l’accueil, notre savoir-vivre à la française avec l’accent niçois. On attire plus de monde sur notre destination.
Quelles sont vos priorités ?
Notre priorité en a été d’entrer collectivement hôteliers, restaurateurs et acteurs du tourisme au Convention bureau, le bras armé de la Métropole de Nice Côte d’Azur en matière de tourisme d’affaires et de congrès. Notre spécificité est de ne pas être une cité balnéaire mais la e ville de France et donc de pouvoir travailler toute l’année. On sait gérer le tourisme de masse. Mais on a encore besoin de travailler les ailes de saison et l’hiver. Et ça passe par un travail en amont. Un hôtel, un restaurant font partie des arguments qui permettent à un organisateur d’événement de valider sa destination.
A-t-on les capacités hôtelières suffisantes ?
On a des hôtels de chambres en moyenne, ça fait
Doit-on construire de nouveaux établissements ?
On a une hôtellerie pour tout le monde : de l’auberge de jeunesse au palace. Plutôt que d’agrandir le parc sur le littoral, tournons-nous vers le moyen et le haut pays, et la montagne. Nous y avons des établissements à la peine. Aidons-les à être plus attractifs. Je suis très attaché à la ruralité. Nous avons créé des référents dans chacune des vallées pour mieux travailler cet axe.