France Autisme dénonce l’oubli
Des familles optant pour une structure à l’étranger,
« cela montre qu’elles ont très peu, voire pas d’autre possibilité. L’Agence régionale de santé doit trouver une solution pour cette famille, remarque Danièle Langloys, président de l’association France Autisme. On a le droit de privilégier les liens familiaux, d’autant que le discours officiel aujourd’hui consiste à dire : l’exil en Belgique, c’est fini. C’est faux. Certes, on a un plan de millions d’euros, répartis sur trois ans (-), pour la mise en place de solutions alternatives d’accompagnement des adultes exilés dans les trois régions les plus concernées (Hauts de France, Île-de-France, Grand Est), parce que % des autistes exilés viennent de ces régions. Les autres régions ?
Elles sont oubliées. »