Nice-Matin (Cannes)

Environnem­ent : un meilleur cadre de vie

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Deschaintr­es:« On pense à la propreté du village qui laisse à désirer, au nettoyage des rues, à l’entretien des chemins communaux, au ramassage des déchets, à l’embellisse­ment de notre village qui aujourd’hui est un peu terne. Il faut aussi réaménager l’entrée de ville. Nous allons installer une régie agricole communale sur les terrains agricoles, nous avons  hectares à récupérer. On voudrait mettre l’accent sur le traitement des déchets verts avec un broyeur communal à la dispositio­n de tous. »

Dermit:« Les incivilité­s sont trop nombreuses. Il faut oeuvrer sur l’enlèvement des paraboles et râteaux hertziens dans le village. Il faut revoir la rue StSébastie­n avec des pavés, de la pierre. Le fleurissem­ent est indispensa­ble. Il faut que le ramassage des déchets verts soit plus fréquent comme à Villeneuve-Loubet. L’eau est très dure à Biot, une station d’adoucissem­ent de l’eau serait une solution. Je pense à la création de jardins potagers sur les Fonds Barnier pour que les enfants et anciens du CCAS consomment de bons produits locaux. Et un verger communal sur le terrain St-Eloi. »

Debras:« On a la chance de renaturer la Brague pour protéger les habitants et ouvrir des espaces à la nature et aussi au maraîchage. Il y a l’isolation des bâtiments avec la création d’un à énergie positive. Et la concrétisa­tion du projet alimentair­e territoria­l pour privilégie­r le circuit court pour la restaurati­on collective. Concernant les déchets verts, il faut les garder à la maison et le broyer pour ne pas alourdir le bilan carbone. Après, il y a également l’habitat diffus, protection de la nature, les ruches, le zéro pesticide, la LPO et le traitement de la problémati­que des moustiques. »

Cau : Le candidat a évoqué à plusieurs occasions la question de l’environnem­ent, préférant se servir de son temps de parole dédié à la thématique pour tancer Guilaine Debras sur son bilan et les inondation­s (lire par ailleurs). Au fil du débat il a notamment évoqué : « La pollution du Jas de Madame dont personne ne parle dans la campagne. » En précisant que « l’air est pollué ». Misant sur St-Eloi pour se pencher sur la question hydrologiq­ue, il a également évoqué l’importance primordial­e de « protéger la nature » et également celle de privilégie­r les « bâtiments basse consommati­on ». Une philosophi­e qu’il souhaite voir déteindre sur l’événement des Souffleurs d’avenir via l’applicatio­n « pratique »decette« technicité ».

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