Nice-Matin (Cannes)

Eric Roy : « Du mal à comprendre »

- A SAINT-DENIS, VIVIEN SEILLER ANTOINE DELGOULET

On a aussi senti que Nice n’a pas trouvé la solution offensivem­ent... Il doit y avoir beaucoup de frustratio­n chez les Niçois. Aussi un sentiment d’injustice. Mais au-delà de ça, il faut se dire que cette équipe est capable de faire mieux dans le jeu, de faire mieux en attaque avec les joueurs qu’elle possède. On a vu un Dolberg en difficulté, un Gouiri qui a montré certaines choses mais qui n’a pas pu concrétise­r et un Andy Delort qui s’est battu. Mais ce trio offensif n’a pas tenu la comparaiso­n avec le trio offensif nantais. Kolo

Le coaching de Christophe Galtier ?

Il a été poussé par l’ouverture du score du FC Nantes. Il a été obligé d’être plus offensif et de finir avec une équipe ultra-offensive. Mais il était face à un système défensif très bien organisé avec trois défenseurs centraux costauds. Nice n’a pas réussi à déséquilib­rer cette défense. Et quand tu ne marques pas, tu n’es pas à l’abri de perdre le match sur un coup foireux.

L’arbitrage de Stéphanie Frappart ?

Je l’ai trouvé moyen. Elle a été en difficulté. Et quand il y a eu des décisions litigieuse­s à prendre, ça a toujours basculé du côté nantais. Le temps additionne­l n’a pas non plus été respecté. Je l’ai trouvée très sévère avec les Niçois et j’ai trouvé le penalty très sévère. Je peux comprendre la frustratio­n des Niçois, même s’il ne faut pas s’arrêter là.

 ?? (Photo FTV) ?? Muani, Simon et Blas ont montré plus de choses que les Niçois. À partir de là, Nantes n’a pas volé sa victoire.
(Photo FTV) Muani, Simon et Blas ont montré plus de choses que les Niçois. À partir de là, Nantes n’a pas volé sa victoire.

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