Nice-Matin (Cannes)

Et ailleurs ?

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■ Japon : depuis 1947.

Les entreprise­s ne peuvent forcer une employée à travailler si elle demande à être en « congé menstruel ». Il n’y a pas de limite au nombre de jours pris, mais ils ne sont généraleme­nt pas payés.

■ Corée du Sud : un jour par mois. Ce congé règles était payé jusqu’en 2004. Il ne l’est plus.

■ Indonésie : un ou deux jours par cycle. Une loi de 2003 prévoit un ou deux jours de congés payés en début de cycle menstruel, si nécessaire.

■ Taïwan : trois jours maximum par an. Les salariées peuvent bénéficier de plus de jours de congés menstruels, mais ils sont alors comptabili­sés comme des jours de congé maladie normaux.

■ Chine : des recommanda­tions. Il n’existe pas de loi nationale sur les congés menstruels mais des recommanda­tions des ministères de la Santé et du Travail pour accorder un ou deux jours de congés maladie sur certificat médical.

■ Zambie : depuis 2015. Depuis 2015, une loi accorde un jour de congé supplément­aire par mois.

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