Nice-Matin (Cannes)

Famille d’accueil, habitat partagé…

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Quand il n’est plus possible de vivre sous son propre toit de façon totalement autonome, pour quelles raisons devrait-on s’imposer la vie en collectivi­té ? Jeune ou vieux, nous ne sommes pas tous faits pour les activités en salle commune, la cantine et le couvre-feu. Alors pourquoi ne pas opter pour la famille d’accueil ? Nous sommes allés à la rencontre de Dominique Cler, qui prend soin de Colette, François et Richard. Trois personnes âgées dépendante­s. Un métier d’accueillan­t familial qu’il exerce depuis dix ans, dans sa maison à Carros. Comme 24 autres familles dans les A.-M.

Autre alternativ­e : l’habitat partagé. Si l’on s’organisait suffisamme­nt bien en amont pour bénéficier du soutien d’un groupe, de voisins, d’amis, ne pourrait-on pas repousser au maximum notre entrée en maison de retraite, voire l’éviter ? L’habitat partagé est une solution qui privilégie humain et entraide. Nous avions rencontré les habitants de L’hédina ,àbiot,ilya5ans. Avec le recul, quel regard portent-ils sur ce choix de vie ? Nous y sommes retournés et leur avons posé la question… Retrouvez l’ensemble de nos reportages dans le dossier Solutions « Mamie Blues », sur nos sites web.

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