Nice-Matin (Cannes)

L’air était plus pollué pendant les confinemen­ts

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Durant cette période-là, les déplacemen­ts ont été restreints et le télétravai­l a été rendu obligatoir­e pour une bonne partie de la population. Donc, on a constaté une forte diminution de trajets en voitures. La baisse de ces polluants est très importante dans le secteur, car le trafic routier est – en temps normal –, très dense.

Cependant, les concentrat­ions de particules émises par les autres secteurs d’activité ont, quant à elles, augmenté. Les gens étant, de fait, chez eux une majeure partie de la journée, il y a eu une augmentati­on de concentrat­ion de particules due au chauffage. Et donc une pollution résidentie­lle plus prononcée qu’en temps normal.

En ce qui concerne la pollution du trafic routier, « après les confinemen­ts, on a eu une reprise qui est restée en dessous des niveaux d’avant 2020. Mais à l’heure actuelle, je pense qu’on a repris les niveaux… »

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(Photo-archives N.-M.) Le trafic routier, d’habitude très dense sur le territoire, a presque été mis à l’arrêt pendant les confinemen­ts.
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FAUX

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