Tac au tac

◗ Eric Mèle en évoquant le nombre de logements saisonniers à Juan : « 80, c’est peu. » Eric Pauget, piqué au vif : « Oui, mais avant il y en avait zér o. » Du coup, c’est combien assez ?

◗ Eric Mèle qui ne sait plus où il en est dans ses notes : « Attendez, je ne sais plus où j’en suis... » Eric Pauget en profite :

« Il faut développer l’apprentissage » Eric

Mèle reprend : « Oui voilà c’est ce que je voulais dire. » Saisir la balle au bond, c’est un métier.

◗ Eric Pauget répondant à Eric Mèle pointant du doigt les votes discordants dans le groupe des Républicains : « Je suis libre ! » Il y en a même qui l’ont vu voter.

◗ Eric Mèle, tout sourire sur le pouvoir d’achat : « On se demande ce que Monsieur Pauget va voter en juillet... » Euh, en fait, c’est le débat de l’après second tour auquel on assiste ?

◗ Eric Mèle : « Je suis le député de l’urgence climatique, administrative, financière, militaire... » Certes, on est loin d’une ambiance Prix Nobel de la paix entre l’est et l’ouest du département, mais faudrait peut-être pas pousser, non ?

◗ Eric Pauget sur la fusion Métropole-département : « Je suis le candidat de Jean Leonetti. » Il désigne son adversaire en face :

« Il est le candidat de la majorité présidentielle et celui d’estrosi. »

◗ Eric Pauget en mode Majax : « La loi de finances de l’état, c’est de l’argent magique. »

◗ Eric Mèle : « Le vélo électrique coûte cher aujourd’hui mais diminuera au fil du temps. Comme les voitures électriques. Ça va devenir un produit commun. » Et de première nécessité ?

◗ Eric Mèle, pour justifier l’immigration à laquelle va recourir le gouvernement pour aider les secteurs qui peinent à embaucher : « Dans notre région, quand les Piémontais venaient ramasser le jasmin, la rose… aujourd’hui, quelque part, on a tous des noms italiens il me semble. »