Sécheresse, tourisme : leurs avis sur l’environnement
« J’ai toujours été un écolo », a entamé fièrement Loïc Dombreval. « La 2e circonscription est un poumon vert de biodiversité qui sera, demain, un refuge pour les habitants du littoral. » Mais alors, comment concilier développement économique et protection de l’environnement ? Le candidat de la majorité présidentielle a mis en avant une solution : le slow tourism. « Il faut du tourisme durable parce que les paysages sont merveilleux et que l’accueil dans les villages est exceptionnel. C’est aujourd’hui insuffisamment connu et valorisé. Les créations d’emplois tels que les guides nature doivent être la priorité en matière de développement écologique et économique. » Après avoir pointé du doigt les projets tels que Polygone Riviera à
, Ikea à ou encore l’ex Open Sky (aujourd’hui Village de Sophia) à « Il faudrait arrêter de raser notre nature et miser sur nos zones commerciales en centre-ville qui sont à l’abandon. » Une solution qui irait de pair avec « les circuits courts, produire et recycler sur place ». Le candidat frontiste, Lionel Tivoli, a abordé une autre problématique, ancrée dans l’actualité du moment, la sécheresse. « J’ai proposé l’étude d’installation d’une usine de dessalinisation qui est d’une importance capitale. Il faudrait aussi rénover nos réseaux d’eau, on a une perte de 40 % de notre eau à cause des fuites. »