À la pointe, de Pietra à Merzouki
Dix propositions très différentes. La saison dansée variera entre formes traditionnelles comme les danses sacrées de Bali (25 mars), le flamenco de la Compañia Antonio Najarro (1er avril) et chorégraphies contemporaines comme Zéphyr (notre photo) de la compagnie Käfig de Mourad Merzouki (23 octobre) où dix danseurs sont portés par le vent. Seule en scène, Pietragalla sera La femme qui danse (4 mars). Sans musique autre que celle des corps, Simple d’ayelen Parolin promet un drôle de moment (25 novembre). Tout autant que Les yeux fermés de Mickaël Le Mer autour de l’outrenoir de Pierre Soulages (27 novembre) ou le Lovetrain d’emanuel Gat sur des sons de Tears for fears (11 décembre).