Les réactions
Jean-luc Mélenchon, chef de file de la Nupes, juge qu’« il est vain de dissoudre la réalité du vote en l’enfumant de considérations et d’appels de toutes sortes ».
Jordan Bardella, président par intérim du RN, s’est félicité que « l’arrogance d’emmanuel Macron marque un peu le pas ».
Olivier Marleix, président du groupe LR à l’assemblée, estime qu’« il n’y a pas d’alternative aux dialogue et respect évoqués par le Président. Mais il ne peut y avoir de chèque en blanc, de surcroît sur un projet peu clair. »
François Bayrou, président du Modem, a déclaré que « l’idée qu’il suffit de recréer une majorité qui n’a pas été donnée par les électeurs est une idée que je ne crois pas possible. »
Julien Bayou, secrétaire national D’EE-LV, a jugé le discours «flou» , et a attaqué : « Le président dit qu’il veut agir sur le climat, nous ne le croyons pas. »
Olivier Faure, premier secrétaire du PS, a estimé que « non, les formations politiques n’ont pas à lui répondre jusqu’où elles sont prêtes à aller pour lui donner un chèque en blanc ».