« Bonne accélération en douceur »
Avec le sourire. Voilà comment Christophe, 55 ans, ressort de son test de 40 minutes au volant de la berline électrique. L’impression ? «J’aiuntrèsbon ressenti. J’ai noté une bonne accélération en douceur ».
La reprise ? « La voiture répond très vite même si c’est une automatique ».
Tenue de route ? « J’ai constaté une bonne stabilité, avec un poids de 2049 kg. Évidemment, il faudrait la tester en montagne ». Dans le secteur de la logistique, cet habitant de Salernes est en pleine reconversion professionnelle. « Je roule en diesel, mais j’aimerais devenir chauffeur VTC en électrique justement ».
Aides financières
Le frein financier ?
« Certes, un véhicule électrique est entre 25 et 30 % plus cher qu’un thermique. Mais il y a des aides multiples » lui explique Sébastien Reynaud, formateur automobile. « Il y a d’abord des aides de l’état d’un montant de 5000€ maximum pour un véhicule
100 % électrique de moins de 45 000 €, et 1 000 € s’il est à plus de 60 000€. Puis il existe des aides des collectivités, comme la Métropole de Nice qui donne 5 000€. Enfin, il y a des aides à la conversion électrique en fonction des ressources qui peut atteindre 5000€ .Cumulé, cela peut faire jusqu’à 15 000 € d’aides ».