Au conseil, un outil pour préparer l’avenir économique
C’est le dernier conseil avant les vacances d’été ! Aujourd’hui, dès 14 h 30, au Palais des congrès, les élus grassois devront se pencher sur 52 délibérations.
Les élus grassois ont rendezvous, ce jour dès 14 h 30 au Palais des congrès, pour le dernier conseil municipal avant les grandes vacances d’été.
Parmi les 52 délibérations, la création de la société d’économie mixte (SEM) Foncière Grasse Dynamiques. Objectif : associer acteurs privés et publics (Ville de Grasse, CAPG, Banque des territoires, Vilogia et Fragonard) pour récupérer – notamment sur le Jeu-de-ballon – huit cellules commerciales et 2 700 m2 de foncier dans le centre. Afin d’y installer des enseignes et autres franchisés, en cohérence avec les deux grands projets structurants du coeur de ville : la médiathèque et ses places, dont l’inauguration est attendue en septembre ; surtout, avec plus long terme (2024-2025), le projet Martelly.
Échange caserne-maison des associations
Les débats aborderont, aussi, l’échange à venir entre la Ville et le Département. La première doit céder, à l’euro symbolique, l’ancienne caserne de pompiers située sous le collège Carnot. Afin d’y créer un gymnase à destination des élèves – et des associations, les soirs et week-ends – mais aussi procéder à la mise en sécurité de l’accès à l’établissement.
En contrepartie, et toujours à l’euro symbolique, le Département donne à la commune l’ancienne caserne de gendarmerie qui abrite, aujourd’hui, la Maison des associations.
Objectif : y installer une future extension du campus universitaire voisin. L’écart évalué entre les deux biens (1,055 M€) fera office de participation de la structure départementale au projet. Campus dont le chantier a pris du retard, avec le désistement de deux entreprises. Également au programme de la séance : une modification au budget, pour y intégrer, notamment, l’explosion du prix des fluides (carburant, électricité…); ou encore l’approbation du plan d’alignement de la rue des Grillons.
La fin de longues années de désaccord entre la Ville et une partie des copropriétaires ? Pas si sûr…