Comme l’hiver approche, et si l’on s’évadait un peu ?
Le 7e salon international du tourisme rassemble près de 30 destinations, samedi et dimanche au Martinez. Les pros vous y attendent, pour présenter leur panel de séjours sur mesure.
Puisque l’on est en octobre et que les vacances estivales ne sont déjà plus qu’un lointain souvenir… Et si l’on préparait son prochain voyage ? Là, très vite, pour prolonger le plaisir ; ou plus tard, histoire de s’offrir une perspective réjouissante alors que l’hiver vient. C’est ce que propose, samedi et dimanche au Martinez, la 7e édition du salon international du tourisme. Près de 70 pros vous attendent, pour présenter leurs destinations.
Envie de chaleur ? L’égypte (qui aura droit à un coup de projecteur spécifique), les Maldives, le Costa Rica, la Tanzanie, la Polynésie ou encore l’équateur et ses îles Galàpagos – invitées de dernière minute – sont faites pour vous. Plutôt adeptes du froid ? Alors, c’est vers l’arctique, le Pérou et sa cordillère des Andes, la Scandinavie ou l’autriche (de retour après sept ans d’absence) qu’il faudra vous tourner…
Une trentaine de stands, soit « une dizaine de plus que l’an passé, pour la première édition post-covid, précise l’organisateur, Olivier Bertolino. Les agences ont clairement morflé avec la pandémie. Alors, elles ont la volonté d’être présentes ici, de montrer une envie de résister, de relancer pleinement l’activité. »
S’adapter aux nouveaux modes de consommation
Une crise sanitaire dont les effets ne sont pas totalement estompés. « L’asie se trouve peu représentée, avec pas mal de destinations qui viennent juste de rouvrir. Il y a aussi les conséquences du conflit en Ukraine, avec le prix du kérosène qui influe sur celui des billets, des avions qui doivent contourner les zones de guerre, donc rallonger les temps de vol, etc. »
Alors, on s’adapte. La seule représentante du continent, la compagnie Asia, diversifie, ainsi, son offre, en s’ouvrant, notamment, à l’afrique Australe (Réunion, Maurice, Zimbabwe, Kenya…).
S’adapter, aussi, aux nouveaux modes de consommation, en proposant une offre de plus en plus personnalisée. « La Covid a accéléré la demande, soutient Olivier Bertolino. On ne part presque plus à l’aveuglette, même les jeunes. C’est sûrement lié à notre époque, au contexte sanitaire ou sécuritaire. En tout cas, les exposants s’inscrivent clairement dans cet esprit de livrer des séjours sur-mesure. » Raison de plus pour y trouver notre bonheur ce weekend…
■ Salon international du tourisme