« Cap de lire » pour les jeunes auteurs, chapitre II
Dimanche 14 mai, le festival qui met en lumière une quarantaine d’écrivains en herbe revient, à la Garoupe, pour sa deuxième édition. L’occasion de découvrir de nouveaux talents !
Ils ont chacun leur plume mais ils sont en train d’écrire la même histoire. Celle d’une bande de mordus du livre qui s’est donné pour défi de créer un festival pour les jeunes auteurs. Des écrivains en herbe qui méritent un petit coup de projecteur. Ceux qui rêvent de se faire une place dans le grand monde de la littérature.
Après une première édition plus que réussie en 2022, le deuxième chapitre de cette aventure va s’écrire le dimanche 14 mai, toujours dans le même décor exceptionnel de la Garoupe, avec l’association des amis de Saint-armentaire.
Remise des prix à 13 h
Dès 10 heures, près de quarante écrivains de toute la région mais aussi de Paris et de Suisse tiendront un stand pour échanger avec les visiteurs et se prêter au jeu de la dédicace. Romans fantaisie ou historiques, polar, jeunesse, littérature blanche, mangas : c’est bien la diversité des genres qui sera célébrée !
Parmi ces quarante talents, trentedeux concourent dans les trois catégories de la compétition : livre illustré, littérature et jeunesse. La remise des prix, avec des trophées confectionnés en vitraux par la créatrice antiboise Kimcap Creations, est prévue pour 13 heures. Cette année, le jury composé de dix personnes (dont le collectif
d’organisateurs et des élus de la Ville d’antibes) sera présidé par Stéphane Galas, dont les polars ont été publiés chez Michel Lafon.
Ateliers d’écriture, dessin et théâtre
Tout au long de la journée, les petits et les grands pourront s’essayer à l’écriture de polar, au dessin et au coloriage style manga, à l’aquarelle ou encore à l’haïku
(courts poèmes japonais). « Avec le temps, on espère que le festival prendra de l’ampleur et une certaine renommée pour devenir un vrai tremplin pour les auteurs », sourit Julien Cazorla, à l’origine de la saga Gayard’nell et organisateur. L’événement attire déjà beaucoup : « Nous avons dû refuser une quinzaine de personnes par manque de place et nous recevons encore des demandes ! » À ce rythmelà,
le festival pourrait rapidement devenir non pas un tremplin mais… une catapulte !